Un chercheur algérien invente une solution régénératrice du plastique - DIA
19071
post-template-default,single,single-post,postid-19071,single-format-standard,qode-listing-1.0.1,qode-news-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,qode_grid_1400,footer_responsive_adv,hide_top_bar_on_mobile_header,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-theme-ver-12.0.1,qode-theme-bridge,bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-4.12.1,vc_responsive

Un chercheur algérien invente une solution régénératrice du plastique

DIA-17 mai 2017: Un chercheur algérien, Said Bouhlal, professeur à l’université de Sétif vient de faire une découverte dans le développement durable. Il s’agit d’un procédé de régénération des plastiques, a annoncé ce mardi à la la Radio nationale le professeur, Nourredine Yassa, directeur général du centre de développement des énergies renouvelables (CDER).

Selon M. Yassa, cette invention qui constitue, une « innovation révolutionnaire », consiste à « développer un mécanisme réactionnel qui permet de revenir vers le produit initial »,a t-il précisé.

Ainsi, « en moyennant l’addition des agents chimiques, le plastique (polymère) redevient au produit à la base qui est le polymère », explique M. Yassa.

Cette solution à la problématique du recyclage pour des milliards de tonnes de déchets de plastique, « peut être utiliser dans l’industrie du plastique et permet à la fois de préserver nos ressources pétrolières dont on n’aura plus besoin d’en puiser et de protéger la faune et flore ».

La découverte du chercheur Said Bouhlal, détenteur de 10 brevets déposés aux Etats- Unis dont 4 sont exploités et 6 cédés à titre gracieux à l’Algérie, sera exposé lors du Salon consacré aux produits de la recherche, prévu du 18 au 21 mai à Alger.

Nedjoua Dani 

1 Comment

  • spécialiste en polymères
    19 mai 2017 22:43

    Bonjour,
    ce monsieur Bouhlal que j’ai connu il y a très longtemps n’est qu’un simple charlatan et sa place n’est pas à l’université.
    En mal de publicité, il a embarqué des irresponsables dans son histoire à dormir debout.
    C’est Rahmat Rabbi version université de Sétif. Aucune rigueur, aucun contrôle. Le pays est vraiment entrain de couler, aucun doute.

Envoyer un commentaire

0Shares