La cinémathèque algérienne revisitée par la réalisatrice Jacqueline Gozland - DIA
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La cinémathèque algérienne revisitée par la réalisatrice Jacqueline Gozland

DIA-24 mars 2018: Le film « Mon histoire n’est pas encore écrite », de la réalisatrice française Jacqueline Gozland, projeté jeudi en avant-première dans le cadre de la compétition officielle du film documentaire du festival méditerranéen d’Annaba (FAFM) a fait renaître dans la mémoire des cinéphiles l’histoire et la dimension de la « Cinémathèque d’Alger », reflétant le cheminement de cette source de rayonnement auprès des artisans du 7ème art.

Projeté à la cinémathèque d’Annaba, ce film documentaire retrace l’histoire de la cinémathèque d’Alger qui a vu le jour pour incarner une source de rayonnement culturel et artistique et devenir un espace d’accueil et de découverte du cinéma international, a affirmé Jacqueline Gozland, dans une déclaration à l’APS.

Ce film, une production franco-algérienne datant de 2017, d’une durée d’une heure et seize minutes, a nécessité le recours aux archives et à des témoignages vivants de cinéastes et de critiques, tels que Ahmed Bejaoui, Lyes Meziani, Farouk Beloufa, Sid Ahmed Agoumi et Jean Douchet, concernant les étapes historiques qui ont insufflé la dynamique de la cinémathèque d’Alger, tout en soulignant la relation forte et particulière qui a uni cet établissement au public.

Mon histoire n’est pas encore écrite, de Jacqueline Gozland – Diffusé le 24 février à 19h50 sur la chaîne Cine+Classics a été présenté au Festival d’Annaba du Film Méditerranéen, du 21 au 27 mars en Algérie.

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