DIA-17 février 2018: Le président du Forum des chefs d’entreprises, Ali Haddad, a réagi à partir de Boussaâda, aux propos de la présidente du Parti de l’équité et de la proclamation (PEP), Naima Salhi, qui a déclaré interdire à ses enfants d’apprendre la langue Tamazight à l’école. Sans la citer, Haddad a regretté que certaines personnes n’arrivent pas à admettre les décisions historiques du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui a consacré Tamazight langue nationale et officielle de même que Yennayer qui a été consacré fête nationale et journée chômée et payée. Haddad a estimé aussi qu’il s’agit d’une remise en cause des décisions du Président. Il a estimé que ceux qui s’opposent à ces choix et décisions travaillent dans le sens de nuire à l’unité nationale. Haddad a souligné que les décisions du président consolident davantage l’unité nationale, appelant à se montrer vigilants pour faire face à ceux qui nuisent à l’Algérie et qui œuvrent à diviser les Algériens. Haddad a qualifié la polémique déclenchée par Naima Salhi de stérile.