Les hautes autorités du pays interdisent à la FAF de recruter un entraineur étranger - DIA
23925
post-template-default,single,single-post,postid-23925,single-format-standard,qode-listing-1.0.1,qode-news-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,qode_grid_1400,footer_responsive_adv,hide_top_bar_on_mobile_header,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-theme-ver-12.0.1,qode-theme-bridge,bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-4.12.1,vc_responsive

Les hautes autorités du pays interdisent à la FAF de recruter un entraineur étranger

DIA-12 octobre 2017: Les plus hautes autorités du pays ont interdit à la FAF de recruter un entraineur étranger qui sera payé en devises sonnantes et trébuchantes, a-t-on révélé à la fédération. Au moment où le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a instruit les membres du gouvernement et les entreprises nationales à privilégier le produit local, il serait indécent pour la FAF d’engager un entraineur étranger.

Actuellement, le Premier ministre ne parle que du manque des finances et le gouvernement s’attèle à prendre des mesures à même d’attirer le maximum d’argent dans les caisses de l’Etat. En ce sens, le recrutement d’un entraineur étranger contraste avec la situation financière du pays, d’où l’obligation de la FAF de se rabattre sur un technicien algérien ou d’origine algérienne, comme Djamel Belmadi, a-t-on expliqué à la FAF. L’autre piste avancée par la fédération, ce serait d’engager Rabah Madjer qui a été entraineur de l’équipe nationale à deux reprises, dans les années 1990 et au début des années 2000.

Il faut relever à ce propos, que Madjer a réussi une grande carrière internationale en tant que footballeur, mais force est de reconnaitre qu’il est passé à côté de la plaque en tant qu’entraineur, confirmant l’adage qui dit qu’un grand joueur ne peut pas être forcément un grand entraineur !

Nassim Fateh 

0Shares