Messahel rend hommage aux victimes du massacres du 17 octobre 1961 - DIA
24079
post-template-default,single,single-post,postid-24079,single-format-standard,qode-listing-1.0.1,qode-news-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,qode_grid_1400,footer_responsive_adv,hide_top_bar_on_mobile_header,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-theme-ver-12.0.1,qode-theme-bridge,bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-4.12.1,vc_responsive

Messahel rend hommage aux victimes du massacres du 17 octobre 1961

DIA-17 octobre 2017: En ce triste 56ème anniversaire des tragiques évènements du 17 octobre 1961, le ministre des affaires étrangères Abdelkader Messahel a voulu dans ce message rendre hommage aux victimes de ce crime d’Etat.

« En effet, Il y a cinquante six ans, des compatriotes, forts de leur droit à la dignité et nourris à l’école du patriotisme, sont sortis dans la rue pour marquer, de façon pacifique, leur rejet des mesures vexatoires et discriminatoires prises par les forces coloniales contre la communauté algérienne en France.

Sans ménagement aucun et sans nul égard pour les droits attachés à la personne humaine, ils ont été victimes d’une répression autant brutale qu’aveugle et beaucoup d’entre eux devaient y laisser leur vie.

Le 17 octobre 1961, Journée de l’émigration, demeurera à jamais gravé dans la mémoire de notre Nation en ce qu’il représente, avec d’autres pages écrites du sang de tous ces martyrs tombés au Champ d’honneur, le lourd tribut payé par la communauté nationale à l’étranger à la lutte du peuple algérien pour le recouvrement de son indépendance.

Ces évènements dramatiques dont le peuple algérien garde encore les stigmates sont commémorés, chaque année, dans la dignité et en hommage à nos compatriotes, hommes, femmes et enfants, emportés par cette violence inhumaine.

Les nouvelles générations sauront, comme celles qui les ont précédées, se rappeler de ce déchainement de violence et entretenir, dans une trajectoire intergénérationnelle, le souvenir des sacrifices consentis par le peuple algérien pour la réappropriation de sa souveraineté nationale, de tous ces Chouhadas tombés au champ d’honneur et dont il convient, aujourd’hui, d’honorer la mémoire.

 

0Shares