Ouverture à Tizi Ouzou de la 17ème édition du festival culturel du film amazigh - DIA
40432
post-template-default,single,single-post,postid-40432,single-format-standard,qode-listing-1.0.1,qode-news-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,qode_grid_1400,footer_responsive_adv,hide_top_bar_on_mobile_header,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-theme-ver-12.0.1,qode-theme-bridge,bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-4.12.1,vc_responsive

Ouverture à Tizi Ouzou de la 17ème édition du festival culturel du film amazigh

DIA-28 février 2019: Le coup d’envoi de la 17ème édition du Festival culturel national du film amazigh (FCNFA) a été donné jeudi au théâtre régional Kateb-Yacine de Tizi-Ouzou, en présence du ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi et des autorités locales.
La cérémonie d’ouverture qui s’est déroulée au théâtre régional Kateb Yacine a été marquée par la projection du court métrage « Banc Public » du défunt Djamel Allam, auquel est dédiée cette édition. Un film produit en 2012 et honoré de l’Olivier d’or de sa catégorie à la 13ème édition du FCNAFA.
Lors de son allocution d’ouverture, le ministre s’est félicité de la tenue de cette 17ème édition qui, a-t-il estimé « consacre le dynamisme culturel », qui caractérise la wilaya de Tizi-Ouzou, en annonçant à l’occasion, la disposition de son département à apporter toute l’aide et le soutien nécessaire pour la réussite de ces manifestations culturelles.
« Nous avons décidé d’apporter d’avantage d’aide, dans la mesure du possible, aux différentes manifestations culturelles organisées ici à Tizi-Ouzou, une ville qui respire la culture », a-t-il indiqué, annonçant, à l’occasion, la décision de prendre en charge l’aménagement en moyens logistiques et techniques du théâtre de verdure « pour être opérationnel vers le mois de ramadhan ».
Pour sa part, le commissaire du festival, Amar Tribèche, a considéré que ce festival constitue « une fête du cinéma amazigh qui représente beaucoup pour les algériens et les amazighs où qu’ils se trouvent », et constitue aussi « un espace de rencontres où s’échangent les expériences des uns et des autres ».
Vingt-trois productions, 4 longs métrages, 10 courts métrages, 6 films documentaires et trois d’animation dans différentes variantes amazighs: kabyle, chaouie et mozabite, sont prévus en compétition pour l’Olivier d’or, la plus haute distinction de ce festival qui s’étalera jusqu’au 4
mars prochain.
Les séances de projections des films en lice dans cette manifestation se dérouleront à la grande salle de la Maison de la culture Mouloud-Mammeri, à raison de trois séances quotidiennes, dont une la matinée et deux l’après-midi. 
Quatre (4) conférences sur le cinéma animées par le directeur de la Cinémathèque Algérienne Salim Aggar, le réalisateur Saïd Ould Khelifa, le cinéaste Ali Mouzaoui et le docteur Ahmed Bedjaoui, sont également, prévues lors de ce festival. 
 
0Shares