Panne électrique en plein conférence sur le lancement du satellite Alcomsat-1 - DIA
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Panne électrique en plein conférence sur le lancement du satellite Alcomsat-1

DIA-18 décembre 2017: La conférence de presse animée ce lundi à l’hôtel Aurassi par le directeur général de l’Agence spatiale algérienne (ASAL), Azzedine Oussedik, a été perturbée par deux pannes électriques qui ont plongé la salle dans une obscurité totale.
A deux reprises, la conférence de presse de presse a été interrompue. Le comble c’est qu’il s’agit d’une rencontre avec la presse nationale au cours de laquelle le DG de l’ASAL s’est vanté d’expliquer  en détail les modalités de lancement, le 11 décembre dernier, du satellite algérien de télécommunications spatiales Alcomsat-1 depuis la station chinoise Xichang en Chine.
Il a expliqué que ce nouveau programme sera effectif après l’achèvement du programme spatial national 2006-2020 qui a enregistré le lancement avec succès de 5 satellites, dont le dernier est Alcomsat-1. Il a également annoncé que l’Algérie ambitionne de lancer plusieurs satellites de dernière génération dans le cadre de son programme spatial 2020-2040 qui « est actuellement en cours d’étude ».
Le DG de l’ASAL parlait de satellites et de l’espace au moment ou des problèmes terre à terre liés à l’alimentation électrique dans un hôtel  5 étoiles à Alger la capitale avait contraint l’assistance de remettre les pieds sur terre. Et dire que l’Allemagne avait fêté en 2016, 32 ans sans aucune coupure électrique.
Le Satellite aurait coûté 250 millions de dollars 
Le directeur général de l’ASAL Azzedine Oussedik, a déclaré lors de la conférence de presse organisée à l’hôtel Aurassi que le satellite algérien de télécommunications, Alcomsat-1, lancé le 11 décembre dernier à partir de la Chine par l’Agence spatiale algérienne (ASAL) aurait coûté au gouvernement plus de 250 millions de dollars et ses retombées économiques seront très importantes pour l’avenir.
323 cadres formés par l’agence spatiale 
« La première phase de développement satellitaire de l’Algérie a commencé déjà depuis longtemps, ce qui a permis à l’Algérie d’avoir cinq satellites en orbite, après la fin de la mission de 2005, Alsat-2A, Alsat-2B, Alsat-1B, Alsat-N et Alcomsat-1, une phase qui se terminera en 2020. Un autre programme 2020-2040 sera lancé avec l’implication de davantage de compétences algériennes formées en Chine ces 3 dernières années et qui sont au nombre de 323 cadres : 167 ont été formé en technologie de KHTT et 156 ont suivi des formations académiques (Phd et Master)», a enfin expliqué le directeur général de l’ASAL.
Amir Hani 
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