Le pétrole en hausse en Asie - DIA
7923
post-template-default,single,single-post,postid-7923,single-format-standard,qode-listing-1.0.1,qode-news-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,qode_grid_1400,footer_responsive_adv,hide_top_bar_on_mobile_header,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-theme-ver-12.0.1,qode-theme-bridge,bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-4.12.1,vc_responsive

Le pétrole en hausse en Asie

DIA-12 juillet 2016: Les cours du pétrole rebondissaient modestement mardi en Asie et restaient proches de plus bas de deux mois, les craintes quant à l’excès d’offre reprenant le dessus.
Les cours avaient profité au printemps de nombreux problèmes de production à travers le monde, en particulier au Canada et au Nigeria.
Mais plusieurs facteurs défavorables au marché sont survenus depuis et les investisseurs prennent conscience qu’il en faut plus pour équilibrer durablement l’offre et la demande.
Vers 03h15 GMT, le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en août prenait 10 cents, à 44,86 dollars, dans les échanges électroniques en Asie.
Le baril de Brent, référence européenne du brut, pour livraison en septembre, gagnait 13 cents, à 46,38 dollars.
Depuis le choc provoqué par le vote britannique pour sortir de l’Union européenne, le dollar se renforce, ce qui affecte la demande des acheteurs munis d’autres devises.
L’augmentation de 10% la semaine dernière du nombre de plateformes de forage opérationnelles aux Etats-Unis, indicateur de la production future, pèse aussi sur les cours.
Idem en ce qui concerne des indications selon lesquelles l’Iran et la Libye veulent augmenter la production d’or noir.
D’après l’agence financière Bloomberg News, qui cite un responsable de la société publique National Iran Oil Co, Téhéran prévoit de doubler ses exportations tant que les marchés seront capables d’absorber ce surcroît d’offre.
La Libye prévoit aussi de rouvrir ses ports pétroliers et de rétablir ses niveaux de production, ajoute l’agence.
« Des informations venant de Libye tendent à montrer que la production pourrait repartir à la hausse », a dit à Bloomberg Angus Nicholson, analyste chez IG ltd à Melbourne.
Lundi à la clôture, le WTI, qui avait déjà beaucoup baissé la semaine précédente, a perdu 65 cents à 44,76 dollars sur le New York Mercantile Exchange.
A Londres, le Brent a reculé de 51 cents à 46,25 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE)

Envoyer un commentaire

0Shares