RND : plus de la moitié des candidats sont des universitaires - DIA
16419
post-template-default,single,single-post,postid-16419,single-format-standard,qode-listing-1.0.1,qode-news-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,qode_grid_1400,footer_responsive_adv,hide_top_bar_on_mobile_header,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-theme-ver-12.0.1,qode-theme-bridge,bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-4.12.1,vc_responsive

RND : plus de la moitié des candidats sont des universitaires

DIA-06 mars 2017: Au moment où les partis politiques sont secoués par des polémiques causées par la contestation des listes électorales, le Rassemblement national démocratique (RND) affiche une sérénité exemplaire. C’est un des rares, sinon le seul parti qui communique au sujet des élections législatives.
Les dernières statistiques rendues publiques par le RND font ressortir que plus de 53% de ses candidats ont un niveau universitaire
Sur l’ensemble des 614 candidats (titulaires et suppléants), 98 (15,96%) sont des diplômés de post-graduation, 330 (53,75%) ont un niveau universitaire et 186 (30,29%) ont un niveau secondaire et moyen, précise la même source. S’agissant des femmes inscrites sur les listes électorales du parti, sur les 178 candidates, 132 sont titulaires et 46 suppléantes, relève la même source, ajoutant que parmi les titulaires, une seule femme est tête de liste, 11 autres sont classées en 2ème position et 8 en 3ème position.
Parmi les 614 candidats titulaires et suppléants, 141 candidats ont moins de 35 ans, soit 22,96%, 150 autres ont entre 35 et 45 ans (24,43%) et 241 ont entre 45 et 59 ans, ce qui représente 39,41%. Quant au profil des 462 candidats titulaire « têtes de liste », le RND cite « un ministre, 24 députés reconduits, 4 ex-sénateurs, 3 professeurs d’universités, 8 cadres supérieurs au niveau des institutions de l’Etat, 7 issus du monde économique et 5 entre médecins, avocats et ingénieurs ».
Avec cette organisation qui semble infaillible et une communication presque sans faille, le RND gagne en crédibilité et risque de faire mal aux législatives du 4 mai prochain.
Amir Hani

Envoyer un commentaire

0Shares