Alors que les véhicules Renault restent indisponibles sur le marché local : Bouchouareb parle d'exportation - DIA
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Alors que les véhicules Renault restent indisponibles sur le marché local : Bouchouareb parle d’exportation

DIA-27 avril 2017: Le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslam Bouchouareb, a annoncé ce jeudi à Oran que l’exportation d’une partie des véhicules du constructeur français Renault, fabriqués à l’usine d’Oued Tlelat (Oran) est envisageable.  Une annonce qui a étonné les Algériens quand on sait que ces derniers ont du mal à se procurer un véhicule produit dans cette usine, à savoir la Renault Symbol ou la Dacia Sandero.
Ces véhicules ne sont pas disponibles sur le marché local. Les concessionnaires agréés n’acceptent pas les commandes, alors que les chanceux qui ont pu passer commande doivent passer obligatoirement par des banques pour contracter un prêt bancaire. Cette contrainte de prêt bancaire leur est imposée bien qu’ils soit en mesure de payer cash le véhicule. Mais ceci demeure un autre débat.
A présent, ce qui préoccupe le plus les Algériens c’est de pouvoir acquérir un véhicule Renault, indisponible sur le marché local. Les concessionnaires ont signifié qu’ils préfèrent livrer les véhicules aux entreprises nationales qui sont privilégiées par rapport au simple citoyen.
Qu’à cela ne tienne, Bouchouareb continue de parler de l’exportation des véhicules Renault produits à Oran. « Nous sommes appelés à produire pour le marché national, mais nous tablons également à destiner une partie de cette production à l’exportation. Et c’est notre objectif« , a-t-il dit.
Il a annoncé aussi que l’exportation est envisagée une fois la capacité de production de l’usine serait égale ou supérieure à 100.000 véhicules. Le ministre a précisé que le taux d’intégration dans cette usine, réalisée dans le cadre du partenariat algéro-français, devrait se situer entre 42% et 46%  en 2019
Il a ajouté que l’Algérie projette d’atteindre une capacité de production oscillant entre 400.000 et 500.000 véhicules par an à l’horizon 2022.
Amir Hani 

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