La visite de Macron en Algérie n’est pas liée aux importations de gaz (Bloomberg) - DIA
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La visite de Macron en Algérie n’est pas liée aux importations de gaz (Bloomberg)

DIA-24 août 2022: La visite du président français Emmanuel Macron en Algérie, prévue pour les 25-27 août, n’est pas liée à la recherche d’une alternative aux livraisons de gaz russe. C’est ce qu’a fait savoir ce mercredi l’agence Bloomberg se référant à des fonctionnaires français anonymes.
« Bien qu’Emmanuel Macron soit accompagné par la directrice générale de l’entreprise énergétique Engie Catherine Macgregor, le voyage, selon des responsables français proches du président, n’est pas lié au remplacement des importations de gaz russe », est-il indiqué. Il est peu probable que l’Algérie dispose de réserves de gaz excédentaires à offrir à la France, écrit Bloomberg.
L’Agence France-Presse a rappelé mardi que l’Algérie était un fournisseur de gaz important sur le marché international, et a noté qu’Emmanuel Macron pourrait ainsi demander à la République de faire des efforts pour augmenter la production de gaz. Selon les experts interrogés par l’agence, le président français pourrait discuter, lors de sa visite, de la situation en Libye et au Sahel, ainsi que des perspectives de liens économiques bilatéraux et des questions de visas.

2 Comments

  • Mellah hocine
    24 août 2022 17:09

    C’est qui Blomberg ? Penser que ce journal puisse écrire ceci , c’est croire en une rotation inverse de la terre.
    L’Algérie reste l’une des économies les plus fermées d’Afrique malgré les annonces sur la liberté d’entreprendre, a fait savoir l’agence américaine Bloomberg, Elle a ajouté que les politiciens algériens sont réticents à laisser les entreprises internationales exercer davantage de contrôle sur les ressources du pays, estimant que le gouvernement craint également de solliciter le Fond Monétaire International ou les investisseurs obligataires mondiaux pour obtenir de l’argent qu’il pourrait investir dans les champs de pétrole et de gaz. Mais à voir ce qu’écrivait l’agence :
    Dans 10 ans l’Algérie sera incapable d’exporter du brut, prédit l’agence de presse financière Bloomberg qui se base sur les déclarations d’experts algériens et d’anciens responsables mettant en garde contre la diminution de la capacité d’exportation du pays. Selon les chiffres de l’agence américaine les exportations de gaz naturel brut et liquéfié ont chuté d’environ 30% en 2020.
    Blomberg ferait mieux de parler de cette Europe qui va grelotter cet hiver : En première ligne, les Lettons n’ont déjà plus de gaz russe, depuis fin juillet, et savent à quoi s’en tenir pour les prochains mois. Comme la Lettonie, le robinet de gaz russe est déjà coupé pour la Bulgarie, le Danemark, la Finlande, les Pays-Bas et la Pologne. Chez les autres, les flux vers l’Europe se tarissent: ils étaient en baisse d’environ 70% en juillet sur un an, selon plusieurs experts.
    En cas de pénurie, les autorités couperont l’alimentation en priorité aux entreprises: en France comme en Allemagne, les gouvernements sont en train de choisir lesquelles seront sacrifiées en premier.
    L’Algérie n’est pas la dernière roue de la charrette pour pouvoir se substituer à la Russie .

  • Mellah hocine
    25 août 2022 10:20

    Avez vous une idée sur la liste des accompagnateurs de Macron ? Ce sera probablement une pomme de discorde .

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