Le président Tebboune accorde une interview à l'hebdomadaire français Le Point - DIA
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Le président Tebboune accorde une interview à l’hebdomadaire français Le Point

DIA-02 juin 2021: Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a accordé une « longue » interview à l’hebdomadaire français Le Point, au cours de laquelle il a répondu aux questions des journalistes avec une « franchise rare » sans éluder « aucun sujet », souligne la publication.

Au cours de cette interview réalisée par deux journalistes et écrivains algériens vivant en Algérie, Kamel Daoud et Adlène Meddi, les questions ont porté, notamment, sur la situation politique en Algérie, les réformes politiques et économiques en cours et le rôle de l’Armée nationale populaire (ANP).

Les questions ont porté, en outre, sur les relations avec la France et le dossier de la mémoire, ainsi que les questions régionales, notamment le conflit au Sahara occidental et la situation au Sahel.

4 Comments

  • Mellah hocine
    3 juin 2021 14:05

    Kamel Daoud et Adlène Meddi,, journalistes du Point , qu’on t ils de différents par rapport à Khaled Drareni journaliste de TV5 ?
    A propos de Kamel Daoud , hâtivement érigé en France en décrypteur de l’Algérie — quand ce n’est pas de tout le monde musulman —, l’écrivain Kamel Daoud croit expliquer « l’échec » du soulèvement populaire algérien dans un texte publié par Le Point du 9 janvier. En se faisant le chantre de l’ordre établi, au nord comme au sud, à Paris comme à Alger, l’écrivain montre l’étendue de son conformisme politique.
    En janvier 2019, il critiquait le mouvement des Gilets jaunes en France. Improvisé défenseur du gouvernement français et gardien du bon usage des mots, l’écrivain algérien nous offrait une chronique étonnante dans laquelle il reprochait au mouvement social français de recourir à des notions jugées inappropriées. Un exemple savoureux : « violences policières ». Peut-on parler de violences policières en France ? Non, puisque d’après Kamel Daoud, « c’est l’usage que l’on fait de la police pour protéger un dictateur, ses proches, ses biens ».No comment.

  • Mellah hocine
    3 juin 2021 14:13

    Plus d’une annne que le régime cherche au moins une figure intellectuelle pour relayer les rengaines officielles. Il vient enfin d’atteindre cet objectif, avec l’éloge funèbre de la contestation algérienne, tout récemment publié par Kamel Daoud sur cinq pages dans « Le Point ». Ce ralliement de fait est d’autant plus appréciable que l’auteur de « Meursault contre-enquête », le roman qui l’a rendu mondialement célèbre en 2015, avait vigoureusement dénoncé le système Bouteflika. La place éminente de Daoud dans le débat d’idées, sans doute plus en France qu’en Algérie, rend dès lors nécessaire l’analyse de ses arguments.
    Kamel Daoud, tout à la mise en scène du grand récit du régime, n’a pas un mot pour la « nouvelle indépendance » que réclament depuis plus de cent vendredis les manifestants algériens dans des dizaines de villes du pays, cette « nouvelle indépendance » post-dictatoriale tant attendue depuis l’indépendance post-coloniale de 1962. Il occulte l’immense travail de mémoire accompli par ces manifestants depuis deux ans pour se réapproprier l’histoire authentique de la lutte de libération anti-française. Effacer tant de joies , tant de cris des plus jeunes , des adultes, des vieux ,des femmes et des jeunes filles, c’est méconnaître cette libération qui ne peut plus être renfermée.

    • Caton l'ancien
      3 juin 2021 22:24

      L’association qui squatte le pouvoir en Algérie peut-elle nous avouer combien a coûté cette douloureuse addition facturée au peuple algérien par la revue française « Le Point » et ses deux correspondants très spéciaux qui n’ont d’éthique journalistique que le dédain qu »ils ont envers le peuple algérien dans sa globalité et la traîtrise envers leurs « amis » journalistes algériens.

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