Casoni ou la réussite d’un Corse au doyen des clubs algériens (Vidéo)
DIA-18 avril 2018: L’entraîneur français du MC Alger, Robert Casoni, a été vite adopté par les exigeants et nombreux supporters du Mouloudia. Appelés «les Chnawa» (les Chinois) en raison de leur nombre impressionnant, les inconditionnels du Mouloudia n’hésitent pas à comparer Casoni à son compatriote, Robert Nouzaret considérant que ce sont les deux entraîneurs français ayant pu laisser leurs empreintes au MCA.
Nouzaret qui avait drivé le MCA à deux reprises dans les années 2000, avait pu transformer le Mouloudia qui jouait à chaque fois sa survie en Ligue 1, malgré les moyens matériels et financiers dont jouit le club.
A ce jour, les supporters du Mouloudia regrettent encore l’époque de Nouzaret. En ce sens, les nostalgiques du Mouloudia d’Alger voient en Casoni un nouveau Nouzaret du fait de son caractère, mais aussi du travail effectué au sein de l’équipe. Un travail visible dans la mesure où le MCA développe un jeu plaisant et dispose d’un fond de jeu, ce qui n’est pas le cas de plusieurs équipes du championnat national, dont les joueurs n’arrivent pas à enchaîner trois passes de balles consécutives.
Si sur le plan technique Casoni a carrément transformé le jeu du Mouloudia, son caractère de gagneur, sa grinta et son intransigeance sur le plan disciplinaire, ont fait de lui un entraîneur adulé par les supporters du Doyen des clubs algériens, le Mouloudia ayant été fondé en 1931.
Avec son tempérament de Corse et de Méditerranéen, Casoni a amené les supporters du Mouloudia à l’adopter. Habitué à la pression du public et à d’autres facteurs exogènes au football, Casoni qui a joué en équipe de France et entraîné des clubs huppés à l’exemple de Marseille, Cannes, Bastia, Valenciennes et Lorient sans parler de son expérience en Tunisie, n’a pas trouvé de difficulté à évoluer au Mouloudia.
Malgré la pression des supporters et des dirigeants ainsi que les spécificités du football algérien où il faut prendre en compte l’arbitrage, les jeux de coulisses et l’influence de certains présidents de club, Casoni a tiré son épingle du jeu en s’imposant dans un club où plusieurs de ses prédécesseurs se sont cassés les
dents.
Le Mouloudia occupe actuellement la 2e place dans le championnat de Ligue 1, à trois longueurs du leader et à cinq journées de la fin de la saison. Cela n’est pas arrivé au Mouloudia depuis des années et
Casoni ambitionne d’offrir un titre au Doyen cette saison.
Nouzaret qui avait drivé le MCA à deux reprises dans les années 2000, avait pu transformer le Mouloudia qui jouait à chaque fois sa survie en Ligue 1, malgré les moyens matériels et financiers dont jouit le club.
A ce jour, les supporters du Mouloudia regrettent encore l’époque de Nouzaret. En ce sens, les nostalgiques du Mouloudia d’Alger voient en Casoni un nouveau Nouzaret du fait de son caractère, mais aussi du travail effectué au sein de l’équipe. Un travail visible dans la mesure où le MCA développe un jeu plaisant et dispose d’un fond de jeu, ce qui n’est pas le cas de plusieurs équipes du championnat national, dont les joueurs n’arrivent pas à enchaîner trois passes de balles consécutives.
Si sur le plan technique Casoni a carrément transformé le jeu du Mouloudia, son caractère de gagneur, sa grinta et son intransigeance sur le plan disciplinaire, ont fait de lui un entraîneur adulé par les supporters du Doyen des clubs algériens, le Mouloudia ayant été fondé en 1931.
Avec son tempérament de Corse et de Méditerranéen, Casoni a amené les supporters du Mouloudia à l’adopter. Habitué à la pression du public et à d’autres facteurs exogènes au football, Casoni qui a joué en équipe de France et entraîné des clubs huppés à l’exemple de Marseille, Cannes, Bastia, Valenciennes et Lorient sans parler de son expérience en Tunisie, n’a pas trouvé de difficulté à évoluer au Mouloudia.
Malgré la pression des supporters et des dirigeants ainsi que les spécificités du football algérien où il faut prendre en compte l’arbitrage, les jeux de coulisses et l’influence de certains présidents de club, Casoni a tiré son épingle du jeu en s’imposant dans un club où plusieurs de ses prédécesseurs se sont cassés les
dents.
Le Mouloudia occupe actuellement la 2e place dans le championnat de Ligue 1, à trois longueurs du leader et à cinq journées de la fin de la saison. Cela n’est pas arrivé au Mouloudia depuis des années et
Casoni ambitionne d’offrir un titre au Doyen cette saison.
NASSIM FATEH