A propos d’un article de DIA sur le conflit Berraf-Bernaoui: Les précisions du COA
DIA-02 février 2020: Le président du COA Mustapha Berraf a réagi à notre article l’intitulé » Conflit récurrent Berraf-Bernaoui : un seul enjeu, la présidence du COA« , apportant certaines précisions.
La mise au point du service de communication du COA précise que Mustapha BERRAF a été élu en 1996 à une écrasante majorité de voix devant Messieurs Abdelaziz DEROUAZ et Mohamed BELHADJ qui exerçaient respectivement les fonctions de Président du Conseil Supérieur de la Jeunesse et président de la Fédération Algérienne des Sports Scolaires.
Cette situation a provoqué des conséquences tragiques pour l’intéressé qui a été emprisonné à tort, pendant 3 mois et demi et soumis à 3 ans et demi de contrôle judiciaire, assorti de mesures étroitement liées à la présidence du COA.
Toutes ces manœuvres se sont soldées par un acquittement définitif en 2000 et une indemnisation de 3 millions de dinars. C’est d’ailleurs durant l’intérim qu’il exerçait au COA en 1996 que Monsieur BERRAF, en ce moment là, Directeur Général de structures très sensibles , a participé humblement au soutien de Mr MORCELLI et de Mme BOULMERKA par la Présidence de la République en faisant les démarches nécessaires. Le dispositif mis en place a, d’ailleurs, permis à celui-ci, de se préparer dans de bonnes conditions et d’obtenir la médaille d’or des Jeux Olympiques d’Atlanta en 1996. Résultat de ce champion des champions incontestable dans toute la planète.
Qu’il nous soit permis de porter à votre connaissance les nombreuses réalisations que le COA a pu mettre à la disposition du mouvement olympique et sportif Algérien et dont vous pouvez aisément constater les véracité.
Quant aux résultats sportifs lors des manifestations sportives internationales, elles relèvent exclusivement des compétences techniques des fédérations et par conséquent, ne peuvent être attribuées à l’autorité morale qu’est le Comité Olympique et Sportif Algérien dont les prérogatives sont clairement définies par la loi Algérienne et la charte olympique.