Bonne nouvelle pour les Algériens : d’importantes précipitations de pluies au printemps prochain
DIA-12 Février 2018: Face aux mauvaises nouvelles émanant du gouvernement pour alarmer les Algériens quant à la cherté de la vie et la suppression des subventions, Dieu le Tout-Puissant se montre clément et généraux envers le pauvre peuple algérien.
Alors que l’on avait alarme les Algériens , l’année passée quant à l’assèchement des barrages hydrauliques, les précipitations prévues pour les mois de février, mars et avril devraient être globalement au-dessus de la normale dans les différentes régions du pays, où les températures connaîtront, en général, une baisse par rapport à la normale, selon les prévisions Centre climatologique national (CCN).
Les précipitations prévues pour février sur les régions côtières, proches côtières, de l’intérieur et Hauts plateaux (Ouest, Centre et Est) seront de 20 à 60 mm de plus que leurs normales climatologiques et légèrement au-dessus de la normale sur la région Nord du Sahara de l’ordre de 5 à 15 mm par endroit. Pour le mois de mars, elles seront normales à légèrement au-dessous » de la normale sur les régions côtières, proches côtières, chaines et plaines Ouest, « légèrement au-dessus » de la normale sur les régions de l’intérieur et des hauts plateaux Ouest, « normales à légèrement au-dessus » de la normale sur les régions du littoral, proches côtières, chaines et plaines de la région du Centre, selon l’APS.
A l’Est, les précipitations attendues seront au-dessus de la normale vers les régions côtières, proches côtières, chaines et plaines et les hauts plateaux, et « normales à légèrement au-dessus » de la normale sur les régions du Sahara oriental vers Ghardaïa, El Oued, Touggourt, Ouargla et Hassi Messaoud.
S’agissant du mois d’avril, les précipitations seront au-dessus de la normale sur les régions côtières, proches côtières, chaines, plaines Ouest, plaines du Centre et de l’Est, au-dessus de la normale sur les régions des hauts plateaux Centre, et normales sur les hauts plateaux Est et le Nord du Sahara, d’après les prévisions du CCN.
Concernant les températures, pour le mois de février, elles seront légèrement au-dessous de la normale sur l’ensemble des régions côtières, proches côtières, chaines et plaines, et au-dessous de la normale mensuelle sur les régions des hauts plateaux Ouest et Centre, tandis qu’elles seront normales sur les régions de l’intérieur et les hauts plateaux Est.
Dans les régions du Sud-Ouest et le Sud-Est du pays, elles seront légèrement au-dessous de la normale, et « au-dessus » de la normale sur l’extrême Sud-Est.
Durant le mois de mars, elles seront normales à légèrement au-dessous de la normale sur les régions côtières, proches côtières, chaines, plaines de l’intérieur Ouest et Est, très au-dessous de la normale sur les hauts plateaux Ouest, Centre et les régions des oasis, et normales sur les régions du Centre (côtières et de l’intérieur), les hauts plateaux Est et le grand sud.
Les prévisions du mois d’avril indiquent que les températures seront légèrement au-dessous de la normale sur les régions côtières, proches côtières, et hauts plateaux Ouest, normales à légèrement au-dessous de la normale sur les régions des hauts plateaux Centre.
Au centre et à l’est du pays, elles seront normales sur les régions côtières, proches côtières, au-dessus de la normale sur les régions des hauts plateaux Est, proches de la normale climatologique sur les régions
Sud-Ouest, normales à légèrement au-dessus de la normale sur le Sahara central, Oriental et l’extrême Sud, a-t-il ajouté.
Pour rappel, l’année 2017 a connu, également, un été très chaud dans certaines régions et la saison estivale a été marquée par l’occlusion de plusieurs foyers de feu de forêts affectant principalement la région Nord-est.
La saison d’automne a été aussi chaude, avec un début des pluies tardif pour la plupart des régions du pays, engendrant des impacts directs sur l’agriculture et la ressource en eau.
L’année 2018 est généreuse en pluviométrie, ce qui ne devrait pas stresser les Algériens quant à leur alimentation en eau potable, à moins que le gouvernement décide d’imposer une politique d’austérité en matière d’approvisionnement en eau, malgré l’abondance de cette ressource naturelle.
Mohamed Nassim