DIA-16 juin 2024: Suite à leur absence continue aux jeux olympiques de paris et la cinquième fois consécutives depuis l’année de 2008, soit au terme de seize longues années, plusieurs fédérations sportives demeurent aux abonnés absents dans la cour des grands, et ce, malgré le soutien permanent et inconditionnel des pouvoirs publics.
Fort est de constater que des instances fédérales relevant des sports olympiques ne cessent de consommer les aides du ministère de tutelle mais sans pour autant offrir le moindre olympiens, et seuls les JO peuvent effectivement évaluer le bilan réel des structures concernées, pourtant, contrairement à leurs homologues africains voire même aux voisins maghrébins, des générations d’athlètes appartenant aux fédérations sportives olympiques, n’ont malheureusement toujours pas connu la sensation de l’un des plus prestigieux rendez-vous planétaires.
Compte tenu des données qui réfutent les déclarations de quelques élus sportifs ainsi que leur exposition promotionnelle lors des assemblées générales, il est évident que les résultats techniques à l’échelle olympique, ne correspondent nullement aux ambitions du mouvement sportif national, puisqu’au seuil du coup d’envoi parisien, plusieurs ne figurent pas dans la délégation des qualifiés, tout comme aux précédentes éditions d’ailleurs, à l’instar de, «BASKETBALL, FOOTBALL, HANDBALL, SPORTS EQUESTRES, TENNIS, TRIATHLON, RUGBY et le GOLF ».
Ainsi, le ministère de la jeunesse et des sports et notamment le Comité Olympique et Sportif Algérien, doivent impérativement revoir la stratégie adoptée par les mouvements associatifs n’ayant concrétisé aucune perspective olympienne depuis des décennies.