Chevènement corrige les maladresses de Sarkozy et de l’ambassadeur de France
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DIA-20 mai 2016: Le président de l’association France-Algérie, Jean-Pierre Chevènement a effectué une visite en Algérie pour corriger les «maladresses» de l’ambassadeur de France et Algérie, Bernard Emié et de l’ancien président français, Nicholas Sarkozy. La sortie de Chevènement intervient une semaine après les mises au point du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra qui s’en était pris à Emié et à Sarkozy.
Chevènement s’est dit «heureux» de sa visite à Alger, ce qui lui a permis de rencontrer longuement, le Premier ministre Abdemalek Sellal, a-t-il dit. « Nous avons pu faire un large tour d’horizon, dissiper certains malentendus qui pouvaient s’être développés à partir de maladresses d’exécution». A travers ses propos, Chevènement qui a été ministre à plusieurs reprises, veut calmer le jeu entre la France et l’Algérie, surtout après la photo controversée du Président Abdelaziz Bouteflika, postée sur tweeter par le Premier ministre français Manuel Valss. Cet incident a été précédé par une bourde commise par le journal Le Monde qui avait publié la photo du Président Bouteflika dans un dossier consacré à Panama Papers. En ce sens, les relations algéro-françaises ont traversé ces dernières semaines des zones de turbulence, alors qu’elles avaient connu auparavant un essor sans précédent.
C’est dans ce sens que Chevènement a tenu à relever des «évolutions positives dans plusieurs domaines, citant l’exemple des visas accordés par la France aux Algériens et dont le nombre a
atteint les 400.000 en 2015 contre 200.000 en 2012. Il a relevé aussi que cette évolution se ressent aussi dans les investissements français en Algérie ou algériens en France. En termes plus clairs, les déclaration de Sarkozy et Emié doivent être jetées aux oubliettes.
atteint les 400.000 en 2015 contre 200.000 en 2012. Il a relevé aussi que cette évolution se ressent aussi dans les investissements français en Algérie ou algériens en France. En termes plus clairs, les déclaration de Sarkozy et Emié doivent être jetées aux oubliettes.
Mohamed Nassim