De la réconciliation à Tamazight : le Président Bouteflika garant de l'unité nationale - DIA
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De la réconciliation à Tamazight : le Président Bouteflika garant de l’unité nationale

DIA-30 décembre 2017: La consécration par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, du premier jour de l’An amazigh comme journée nationale chômée et payée, est en fait une décision qui va dans le sens de la consolidation de l’unité nationale. On aura constaté qu’à chaque fois que l’unité nationale est menacée, le chef de l’Etat a pris des décisions courageuses et stratégiques.
La consécration de Tamazight d’une manière générale a été un processus long entamé en 1996. Aujourd’hui et malgré la constitutionnalisation de Tamazight, certaines parties malintentionnées ont tenté de récupérer la cause berbère et en faire un registre de commerce.
Au moment où ces parties, qui agissent dans le cadre d’un agenda international, tentaient de déstabiliser la Kabylie, comme ce fut le cas de Ghardaïa qui avait été à feu ou encore du Sud algérien, notamment Bordj Badji Mokhtar et In Salah qui avaient connu des événements visant à frapper la stabilité du pays.
La Kabylie qui reste une région sensible, a fait l’objet d’une manœuvre et manipulation graves. Conscient des complots qui ciblent cette région, le président de la République a anticipé en prenant une décision historique, à savoir décréter le 12 janvier de chaque année, journée nationale chômée et payée à l’occasion du nouvel An amazigh.
Cette décision est similaire à la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, approuvée par référendum en 2005.  Cette Charte a permis d’éteindre le feu de la fitna et de bannir la haine et la violence au profit de la préservation de l’unité nationale. 
C’est le même cas pour la revendication amazigh qui était récupérée par certaines parties pour diviser l’Algérie des Amirouche, Abane Ramdane, Colonel Lotfi et Larbi Ben M’Hidi. L’Histoire retiendra que le Président Bouteflika a, à chaque fois,  su préserver l’unité nationale pour faire de l’Algérie une et indivisible.
Amir Hani
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