Graves menaces des supporters de Relizane contre le MCA  - DIA
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Graves menaces des supporters de Relizane contre le MCA 

DIA-25 mai 2017: Ce qui se passe dans le football algérien fait peur. Le football qui est un sport et un moyen de rapprochement est devenu en Algérie, sans jeu de mots, un réel danger de mort. Des supporters du RC Relizane ont affirmé qu’ils empêcheront les équipes techniques de la Télévision algérienne d’accéder au stade pour retransmettre le match RC Relizane-MC Alger ce week-end, pour le compte du championnat de Ligue 1.
«Nous demandons à l’ENTV de ne pas envoyer ses équipes techniques chargées de retransmettre le match en direct. Nous demandons aussi aux supporters du MCA de ne pas faire le déplacement à Relizane», ont déclaré sur les réseaux sociaux des supporters de ce club qui joue son maintien en Ligue 1. Il s’agit en fait d’une menace de mort à l’encontre des équipes techniques de l’ENTV mais aussi à l’encontre des supporters du MCA ! En d’autres termes,  les supporters de Relizane s’apprêtent à user de tous les moyens pour permettre à leur équipe d’arracher les trois points de la victoire et garder ainsi intactes ses chances de maintien en Ligue 1.
Sans vouloir justifier le comportement de ces supporters, il faut relever que leur attitude est une conséquence de ce qui s’était passé la semaine dernière à Tizi ouzou. Le président de la JS Kabylie, Mohand Cherif Hannachi avait empêché les caméras de l’ENTV d’accéder au stade pour retransmettre le match JSK-RCR (1-0).  Les dirigeants du RCR avaient dénoncé le comportement de Hannachi et des supporters de la JSK qui avaient usé de pratiques antisportives pour décrocher la victoire en l’absence des caméras de l’ENTV.
Hannachi a expliqué qu’il avait agi de la sorte car des dirigeants du DRB Tadjenent avaient empêché, une semaine auparavant, les caméras de l’ENTV d’accéder au stade. Selon Hannachi, son équipe a été intimidée et menacée à Tadjenent, d’où la défaite de la JSK face au DRBT (1-0).
Les dirigeants de club agissent de la sorte sans qu’ils ne soient inquiétés par la FAF ou la LFP. Et dire que la réglementation en vigueur est claire à ce sujet.
L’article 120 du règlement des championnats de football professionnel de la FAF pour la saison 2016/2017 concernant  l’empêchement ou refus de retransmission télévisuelle stipule : «L’empêchement ou le refus de retransmission télévisuelle, enfreignant ainsi les dispositions des contrats de la FAF et de la LFP relatifs aux droits de retransmission télévisuelle, constitue une infraction sanctionnée conformément aux dispositions prévues par le code disciplinaire en vigueur».
Malgré le piétinement des règlements de la FAF, ces dirigeants de club ne sont ni inquiétés, ni convoqués par la commission de discipline de la Ligue de football professionnel. Même la Télévision algérienne qui a signé un contrat avec la FAF sur la retransmission télévisuelle des matches du championnat, n’a pas réagi. Tout le monde n’a rien vu. On attend peut-être que l’irréparable se produise pour que des décisions fermes  soient prises.
Fateh Nassim
 
 
 

1 Comment

  • Kadour2000
    14 juin 2017 10:24

    Le Mouloudia et……….au diable l’Algérie… !
    A vous Messieurs les décideurs, élus, partis politiques et personnalités nationales dans ce pays durement affligé.
    Si en tant qu’instrument de la justice sociale, notre État n’est pas en mesure de s’instituer en arbitre impartial, entre les ambitions effrénées de la maffia politico-financière et la défense de l’intérêt général. Dès lors, il n’a jamais pu arrêter le pillage des faibles par les puissants et des producteurs au profit des parasites.
    Affliction aux fâcheuses conséquences, synonymes de sanctions qui enfoncent les Algériens dans une situation de sempiternel désespoir : de l’accablement à l’abattement, de l’abattement à l’affliction, de l’affliction à la mélancolie et ; à pareille situation : « Il y a deux choses auxquelles il faut se faire sous peine de trouver la vie insupportable: ce sont les injures du temps et les injustices des hommes. ».Chamfort.
    Aussi remarquons-nous d’emblée que le plus grand mal, serait que l’auteur de l’injustice ne paie pas la peine de sa faute.
    Si toutefois la dénonciation résolue de cette douloureuse lésion, continue encore de faire de la faveur un droit; il n’en demeure pas moins que ne nous dirons jamais assez le mal que ces libéralités libatoires, ont fait à notre pays.
    Quant à l’impression qui se dégage fait que, rien n’est fini pour autant, et tout recommence pour toujours.
    C’est pour cette raison : « On blâme l’injustice, non par l’aversion qu’on a pour elle, mais pour le préjudice qu’on en reçoit ». De La Rochefoucauld
    Au cœur de cette machine à piller qui n’est autre que ce parrainage-bidule qui ne dit pas son mot des clubs, CSC, MCO et JSS : s’érige en abus de concussion de fonds publics à des fins privées. Quand ces décideurs et leurs acolytes soudoient des employés de la Sonatrach, les présidents de ces trois clubs, manifestent leur outrance et, encanaillent ce fleuron de l’économie nationale par la création d’une étrange filiale, qui constitue un précédent acte despotique, dénommée : SPA /Doyen-MCA ; dont le contrecoup subi, mettra à bas l’édifice fondamental de l’économie et, ouvre la voie à tous les maux dont souffre le pays : du crime, à la corruption, de la violence à la malversation dont profitent leur ban et à arrière ban et banalisent la violation de la législation par ces responsables eux-mêmes qui s’accoutument à la cupidité, aux extorsions ,à l’abus du pouvoir et à la non-obéissance aux lois de la république.
    Ils se complaisent dans l’absurdité et l’anarchie pour que leurs avidités demeurent sans limites et, devant de telle aubaine «la richesse : le sentiment le plus ordinaire n’est pas le respect, c’est l’envie.. ! ».Sommes-nous au moyen-âge où la pratique du droit d’aubaine faisait rage ?
    La responsabilité des décideurs, face à tant de médiatisation de violation de la loi, d’abus d’autorité, d’outrages, de diffamations, de corruptions et d’exclusions, est vue comme une protection, à la fois contre leur arbitraire et comme exercice sans limite à leur pouvoir à dessein, autant que comme une réaction à un régime d’une corporation de dévotions intempestives, jouissant d’une impunité pour les uns et d’un déni de droit contre les autres, dans la perpétuation de parti pris, de partialité, de préjugés, de régionalisme, de négation des efforts des autres et avec en outre, pour eux et pour leurs protégés : un ensemble de monopoles usurpateurs et de privilèges toujours en usage ;offensant et attentant à l’honneur et à la dignité, sans se rendre compte qu’ils sont, pour le moins que l’ou puisse dire, les tourments de toute une nation.
    S’interroger, quant à ces médiatisations et revendications, sur la responsabilisation outrageante des responsables du sport, c’est se focaliser sur la responsabilité morale et non sur le respect de lois, dont il n’est plus questions d’en parler pour ces derniers, sur ce qu’elle représente et les « principes » qu’elle prône.
    I-La Sonatrach contre la nation
    En prévaricateurs convaincus, ces extorqueurs ne cessent de piller les richesses nationales par le MCA, en bouc émissaire tout indiqué, mais il arriverait qu’un jour, ils ne deviendraient plus les ami du potentat et, comme ils ont déjà dévasté le peuple par ce holdup qui perdure depuis 1977, alors, nous leurs dirons, sa suffit …! Et à ceux qui s’y adonnent à cœur joie, par leurs filiales, à truster, ces quatre clubs, à leur profit ; finissent—un jour ou l’autre—par se dénoncer les uns les autres ; tout en ayant à l’esprit que—«On ne voyait jadis que des hypocrites de vertu, on trouve aujourd’hui des hypocrites de vice, dont certains se repentent souvent, mais jamais ne changent.. ».Qu’on cesse d’arnaquer le peuple…. !
    Si durant la décennie noire, l’objectif était de sauvegarder le pays et son unité et, on ne se souciait guère de ce que clubs et dirigeants pillaient la nation par ce Viatique que leur octroyait El-Khalifa Banque. En effet, nous vivons en effet une époque paradoxale où l’émancipation de la justice s’accompagne de la permanence d’une vieille méfiance qui perdure et, nous mène tous vers la défiance et, par ricochet, nous pousse à désapprouver, tout ce qui est algérien.
    Ce qui compte est de rétablir cette confiance par la justice et l’équité afin de projeter l’adaptation qu’exige la responsabilisation discernée et progressive à l’échelle des instances sportives et leurs corporations.
    En conséquence, l’Algérie perd de sa cohésion sociale, se dirige vers la dislocation par l’arbitraire de ces décideurs et profiteurs pervertis de la Sonatrach et, ne cessent en conséquence d’attenter méprisamment aux valeurs et aux idéaux de la nation.
    Par leurs crétinisme endémique, leur diversion et leur politique sportive défaillante, ils sont injustes quant aux subventions et aux sponsorings vis-à-vis des autres clubs. Ils sont défaillants dans leur gestion a propension de deux poids et deux mesures, qui présagent, subséquemment à la longue ; soulèvements et émeutes populaires, dont aucun ne peut avoir le cœur lourd, le corps sourd et les doigts gourds…Car nul n’est attentif qui ne veut l’être; et l’attention se résout finalement dans la volonté à probité sans faille.
    L’Etat a piteusement cautionné le pillage du bien de la communauté nationale et accorde injurieusement la prise en charge totale et sans condition du MCA au grand dam du peuple et, croit en avoir gagné la paix sociale, (comme si le MCA était l’Algérie… !),par une certaine cession en étrange donation, des trois autres clubs (MCO-CSC et JSS) pour dévoyer l’opinion publique et faire passer sous le manteau cette aliénation illégale par l’éclat d’un pseudo-équilibre régional teinté de populisme hasardeux et d’action délétère érigée en fausses doctrines en net dépérissement.
    En convoiteux aux instincts malfaisants, ces gens n’oublient pas que les envieux comme eux, souffrent à la fois du mal qui leur arrive et du bien qui arrive aux autres. 
    Cette mesure impopulaire qui pousse à la prédation des richesses nationales, dresse les uns contre les autres et érode les principes de l’unité, de la cohésion et de tout l’ensemble national organisé.
    A-La parodie et l’ancêtre éponyme
    A commencer par la mise au ban de ces échotiers colporteurs d’informations sans initiales, des différents commérages qui froissent les Algériens ; plantés par les plateaux de télévisons privées et, colorés par l’exhalaison des jacasseries et de piailleries de ces nullards dont l’importance des thèmes contraste nûment avec leur insupportable ignorance et, les laisse se complaire à fronder tout ce qui ne cadre pas avec leur caprice jusqu’à en dire : « Nous- ne -savons-quoi et presque-rien ». Ils se livrent à consoler de la poisserie écœurante, des puanteurs de babillards toqués, comme le cas de ce dada, au sens algérien, désemparé par son radotage de raté et sa monomanie agressive de son passé maladif dont il n’arrive pas à en assumer la responsabilité….Sauf Messieurs Madjer,Assad , Med Kaci Saïd , Merzekane et quelques journalistes qui se respectent comme :Mers Abad,Mokrane,Ouahib,Lamari,Aboud.
    Sur ces plateaux, on taquine et on tourmente, sans cesse, les algériens et on trouble leur tranquillité à en sentir le remugle. Le plus souvent, ils reprochent aux uns et aux autres ; incuries et incompétence, alors que ces titis omnivores, vivant par cooptation en « cadres » à la Sonatrach, sans études ni qualification professionnelle et, en ignares qui sèment la culture de la haine et infectent par contagion la jeunesse algérienne par leur Cancan voué pathétiquement en exclusivité aux clubs algérois et surtout au MCA, qui n’est autre qu’un cancer du football national.
    La Manie délirante et furieuse de Bencheikh,fait passer sous silence sa MELLOUZA et sa famille ayant allégrement activé aux phalanges de BELOUNIS ,pour ne pas dire plus, lui fait perdre la raison et, le pousse à se complaire dans le syndrome d’un club TOTEMIQUEMENT FOURVOYE qui le vénère à la limite du paranoïa, qui n’est autre que ce MCA, jusqu’aux méditations fatales où l’idée de sacralité, le possède –d’un seul club « doyen », plus titré, plus populaire…l’envoûte à la limite du paroxysme, le poussant malheureusement à simplifier devant 40 Millions d’Algériens, avec arrogance, effronterie, et salauderie notoire, les sacrifices de la nation algérienne aux seuls, s’il est vrai encore, à ses 47 condamnés à mort par particularisme de son MCA…. ? Et répond en canaille, bien da sa peau, sans vergogne à monsieur Medouar. Sic : « Par ce que seul.. .Le Mouloudia a scarifié 47 condamnés à mort… ! »N’a-t-on pas dit : «Fais-moi voir un menteur, et je te montrerai un voleur »….Sans commentaire… !
    B-Du Pédantisme à la falsification de l’histoire
    Sa personnalité narcissique présente un sentiment de soi, à la fois ridicule et maniéré, mesquin et avaricieux car, il se sent unique, différent et supérieur aux autres; voire même en présence du grand Rabah Madjer ; une légende qui a marqué Football mondial. Tout en oubliant qu’il n’était qu’un jongleur de cirque… Sic (Abdelmadjid.Chetali ne s’est pas trompé) et, jouait au MCA des années 1970 qui bénéficiait manifestement des coups de pousse et du favoritisme du pouvoir. Sa titularisation en finale retour (coupe des clubs) était un octroie, synonyme de coup d’éponge (d’une suspension méritée) de Monsieur TESSEMA, alors président de la CAF.
    Ce morbaque, éprouve le besoin d’être au centre de l’attention et, se donne l’air d’un grand consultant sportif, hanté par le mythe du lit de Procuste, sans en savoir aucune idée, qui l’obsède à défendre cyniquement sa MOULOUKHIA à la manière de cet aubergiste de la mythologie grecque. Cette grande fripouille, au langage roturier, se prend pour un « consultant de football » (et dire qu’il n’a jamais joué le haut niveau) et défie toutes les sommités du football mondial. Sic : « Pour moi, le Ballon d’or devra être accordé à vie pour Messi…!.Et avant le classico, Mascherano mettra Ronaldo dans sa poche … ! ». Ca n’est pas digne d’un fidèle populacier … ? Sinon, mieux vaut, pour toi, ne rien dire que gaffer ou trahir… !
    Quand il s’apprête à divaguer, il ne peut se défaire de son langage décadent, des Bas-fonds, et empreint de minauderie comme une bourrique qui mérite bien son bonnet. Il cherche à être admiré par autrui et traité comme le meilleur joueur algérien de tout les temps. Sic (Abdurazak, le Ballon d’or Ghanéen me l’avait dit).
    Si telle bravade produit tels boniments, à plus forte raison, bien des gens seraient plus estimés s’ils étaient moins pédants de leur réussite.
    Toujours en guignol jouant dans des sombres scénettes, sans se rendre compte ; il montre son empathie du sujet, à péroraison émouvante, tout a fait manifeste et ses relations sociales sont superficielles, teintées de d’illusions délirantes et, la confirmation vient à la fin de chaque émission ; par présenter ses condoléances à quelqu’un avec révérences exagérément maniérées et profondes, féliciter un autre pour telle ou telle chose avec politesses prétentieusement exagérées.
    Et dire que tout cela ,se fait avec aide et complicité de l’animateur ;devenu cuistre insolent et manquant de savoir-vivre, qui s’est complètement défroqué de son habit distingué et mis ses honorables origines familiales, des CHEKFA, aux calendes grecques, pour flatter « Alilou-le fouinard »,toujours à chaque émission en faisant défiler ses anciennes photos, présentées en grande procession par magnanimité et le plus souvent par servilité et bassesse que nous sachions tous.
    Ce lèche-bottes, s’en fiche de son ADN d’origine. Pour lui, il est avant tout le bâtard d’une emprise algéroise qui le divertit à la dérive. Il s’accroche, vaille que vaille, à tout ce qui est Algérois et oublie ses honorables origines, pour faire plaisir à ses régents, et s’abstient à évoquer le moindre joueur de l’EST, comme : « Boubzari, Lehtihet, Belhaoues, Hanchi, Amokrane, Adjissa,Bellocif, Zefzef, Boulfelfel, Bourouba,frères Atoui,Tadjet, frères Matem, Saheb,Zorgane, Krokro, Gamouh,Barkat,frères Salhi,frères Seridi,Hachouf,Koussim, Bourida, Fendi, Blame, Melaksou,frères Zinder…Et, la liste est- très- très longue ». En conséquence de quoi, ce caudataire, sautille par ci par là et, jubile en parfaite harmonie avec les boniments de Bencheikh.
    Ce flagorneur encense bassement Bencheikh et palpite pathologiquement comme le balancier et circule comme l’aiguille, voué minablement aux ordres de ses présomptueux. Il n’en demeure pas moins que, dans ce cas précis, le mensonge est le fils du Diable qui parle le langage de son père.
    Cet animateur, convie Bencheikh à reconnaitre ses propres photos d’une façon cauchemardesque. Et sans se rendre compte, que l’obéissance aveugle à titi dont le savoir vivre ne dépasse pas sa Mellouza est un cauchemar.
    Ce désolant show est clôturé, souvent par des expressions immodérée, changeante et versatile ; d’une rengaine à répétition dégoûtante : Le Mouloudia le plus grand club d’Afrique a joué contre le réal Madrid au Bernabéu.A vrai dire, le mesquin est aussi loin de la simplicité que le clinquant.
    Tout cela, à l’appréciation des initiés, n’est que dramatisation simulée et théâtralisme affligeant…. !
    Par ces bourdes, comme tous les Mouloudéens égotistes, Bencheikh a carrément gommé les drames du peuple algérien et spécialement celui des 20 Millions d’Easterns algériens ; à commencer par les plus récents seulement :
    1. Le crime contre l’humanité, du 8 mai 1945 qui a fait, en une semaine, à Sétif— Guelma—Kherrata,
    78 milles de victimes et non 45 milles comme l’a si bien fait savoir le Consul Britannique au Caire à l’époque. (Pièce en notre possession)—C’est dérisoire par rapport aux 47 condamnés à mort de son MCA.
    2. Les massacres du 20 Aout 1955 au nord Constantinois (sont loin d’égaler ton MCA) dont le nombre de victimes s’élève à plus 12 milles. (selon la presse Yougoslave à l’époque)
    3. Les Aurès, berceau du déclenchement de la lutte armée pour l’indépendance de l’Algérie. (dérisoire par rapport à ton MCA et aux Phalanges de Belounis auxquelles les vôtres en faisaient partie…)
    Ce Bencheikh et ses brebis galeuses qui ont encanaillé ce club et ont en fait une litière pour piller l’entreprise nationale —SONATRACH ; en y occupant des postes de sinécure dont ils n’ont aucune qualification scientifique et professionnelle et, par la même, ne cessent de l’encenser pour en faire un être à valeurs divinatoires.
    D’ailleurs, chaque « sportif »,comme ce Bencheikh,ayant exercé ou y a fait un bref passage au MCA et ceux qui se donnent le sobriquet de « cadre», oublient malheureusement qu’un cadre de la Sonatrach est un salarié dont le niveau de salaire est situé parmi les plus élevés de cette entreprise en raison des fonctions et des responsabilités d’encadrement et de management qu’il exerce au sein de celle-ci….. !
    II-Au diable le peuple, le MCA supplante la Nation….
    C’est pourquoi, ces rapaces, lorsqu’il s’agit du MCA, entonnent le même bréviaire :
    Le MCA, Grand, plus populaire d’Afrique, plus titré d’Algérie et d’Afrique, le grand Moudjahid, ayant sacrifié 47 condamnés à mort ; ainsi et seulement si, par ces qualificatifs ; ces charognards ne cessent de rechercher les astuces pour éterniser leur mainmise sur ce club : par le louanger exagérément , par la création d’une SSPA /le Doyen en violation de toutes les législations du monde et en particulier le code commerce algérien et aux antipodes de la raison et du bon sens ; sinon comment expliquer ou encore justifier cette gaucherie qui fait sauter la cervelle, par l’ inversion du centre de la parole de ceux qui veulent comprendre comment se fait-il qu’une SPA puisse commettre de telles aberration et violation, vis-à-vis des lois de la république, par l’outrage et le fait :
    1. Comment une SPA adopte une grille de salaires qui dépasse le bon sens t la perception humaine en payant ses employés (joueurs avec l’argent public) 4.500.000,00da (Quatre millions Cinq cents milles DA) chacun ? Ça n’a jamais existé…. ! Ca dépasse l’entendement humain. Au demeurant ; l’appartenance doit être totale : Il ne peut pas y avoir de copropriété entre le public et le privé.
    2. Comment créer une société –SPA—au capital public qui n’investit et ne produit pas et, qui(en plus) se charge, en violation de la législation, d’endosser tout le passif de cette association sportive (MCA, club privé vivant en parasite—aux frais de la communauté nationale— depuis 1976 à nos jours) ? Tout en faisant gaver les algériens que, ce MCA est un « bien insolemment public, comme si c’est un patrimoine » et par conséquent, prédateurs et rapaces ont frauduleusement tout astreint à la fameuse théorie de l’accessoire… ! Dès lors, en vertu des constitutions algériennes, les biens publics sont l’ensemble des biens qui sont affectés à l’intérêt général. C’est une première façon de définir les BIENS PUBLICS et cette approche est large car, ici elle englobe des biens qui peuvent être les biens de personnes publiques ou les biens de personnes privées qui seraient alors chargées d’une mission d’intérêt général ou, tout simplement, d’un Service Public.
    3. Ce picaresque MCA en est le machin qu’on charge, par euphémisme, de cette mission de service public ; c’est inextricable… !Est-ce qu’on ne caricature pas vraiment le vocable PUBLIC dans ses trois variantes : Utilité-Bien et Service ?
    4. Comment se fait-il que gouvernement, officiels, Médéa public et privé, députés et autres ne soufflent
    mot et optent volontairement pour le silence complice ? Et ne daignent pas dire un mot de l’existence illégale d’une SPA à la grille des salaires compris entre 01Million et 05Millions de Dinars… ?
    5. Comment une telle entreprise, que nous qualifions d’ailleurs de haute trahison, n’a pas fait l’objet d’avis ou de Consultation du Conseil d’Etat qui est la seule haute juridiction compétente à être saisie, ne serait-ce que pour avis ?
    Nonobstant l’édiction des dispositions constitutionnelles, stipulant que le principe de légalité soit d’application pleine et entière, mais les décideurs et leurs pairs ont tout simplement soustrait au contrôle du conseil d’Etat la mesure par laquelle, la Sontrach accorde, au mépris de tous, de telles libéralités au MCA et, au diable les autres clubs.
    6. Tout le monde n’en dit mot et, trouve que l’impasse déjà faite quant à l’obligation de saisine du conseil
    d’Etat n’est que superfétatoire. Pour eux, le mal a gangrené le pays et donc—laissons-nous profiter de la vache laitière…. ! Ces décideurs, témoins de cette malversation du siècle, ont érigé frauduleusement le MCA, club mâtiné et adultérin, en héritier de fait ; au grand dam du peuple et, au détriment des clubs exhérédés.
    Ou bien les rapaces ont carrément évité l’implication du conseil d’Etat qui est seul habileté à mettre en exergue le caractère illégal de la loi et usurpatoire du bien public et aux conséquences dramatiques, par la postériorité ou l’antériorité de son avis.
    7. Comment admet-on que ce Machin de Mouloudia est injustifiablement surdimensionné par rapport a
    aux clubs algérois, fidèles à leurs quartiers (USM-El-Harrach-Kouba, CRBelouizdad, Na Hussein-Dey…? Les plébéiens du MCA, s’attribuent sordidement l’exclusivité et le particularisme de tout un pays, aux préjudices de tous les Algériens, d’appeler leur Mouloudia au lieu d’Alger :(مولودية العاصمة) ; ils l’appellent odieusement et avec impudence (Mouloudia d’Algérie (مولودية الجزائر et, avec effronterie provocatrice, au grand dam du voisin ; l’USMA d’Alger (اتحاد العاصمة )?
    Et qu’on cesse dire que le MCA pratiquait le Meilleur Football et qu’on arrête la tromperie : les clubs qui pratiquaient le meilleur Football étaient—Le CRB—Le MCO—l’ESS-l’ESG et l’USMA durant la décennie 1960.
    Quant à la décennie 1970 c’était le MOC et pas d’autres…depuis c’est l’USMH et, le MCA ce n’est qu’un détail de toute une hâblerie.
    Cet état de fait nous irrite tous, tout un chacun ; car, nous avons, nous aussi nos clubs favoris-et qu’on arrête ce genre d’affectation outrée par cette pantalonnade que nous maudirons avec dignité.
    8. Comment avale-t-on de telle couleuvre que ce club est : doyen, initiateur du mouvement national, (la roucoulade d’un Ministre en réponse à Mr.Laib—Président du l’USMH) combattant suprême, plus algérien que les autres et donc, on s’autorise délictueusement à le couver seul, au préjudice des autres, par l’argent des contribuables ? Alors qu’il y a des clubs à identité arabo-musulmane créés en 1898, 1903,1908 ,1910 et 1912, qui précédent par leurs doyennetés, ce puiné du MCA. Malheureusement, ils ont été ensevelis sans linceul.
    D’ailleurs, lors d’une émission sur une chaine privé, le jeune animateur, a l’âge de son fils, essaie de focaliser le débat sur la glorieuse équipe FLN et le rôle de ses éléments après l’indépendance ; Bencheikh vomit son venin contre cette équipe nationaliste1958-1962 et la biffe d’un seul trait, sic « Ah non le football algérien a commencé en 1921… ! »–l’animateur lui demande pourquoi ? Il lui répond comme un attardé : C’est la création du Mouloudia… !
    Par ses divagations, Il se trouve tout seul le dindon de la farce et se fait chiquenauder son cul par son MCA, toute en ignorant, que les algériens ont joué au football avant son MOULOUKHIA dans les clubs civils français et algériens(indigènes) à identité arabo musulmane bien avant 1912. Sans rancune, nous vus dirons : « Il existe des secrets de patrie comme des secrets de famille ». Alfred Capus .
    Loin de nous référer aux valeurs nationales, tous les acteurs du sport, refusent de s’inscrire dans le débat sur l’étrange allocation de l’argent public au profit du MCA, tel qu’il est posé : par peur de représailles, par indifférence ou par complicité hypocrite.
    Au passage, nous attirons l’attention de tous les algériens que ce HOLDUP du siècle sera l’enjeu des prochaines élections et, l’électorat algérien, en particulier celui de l’EST en aura le mot décisif. Si le Préjudice perdure encore ; toute loi divine est bonne et utile, et nul ne peut la violer qu’à son dam…. !
    Et à ne pas oublier que : « De vaincu à vainqueur, il n’y a pas de traités ; il n’y a que des trêves ».Emile de Girardin.
    Par ailleurs, nous sommes tous invités à débattre de ce qui nous réunit, de ce qui fait notre cohésion sociale.
    Car, la fierté nationale n’est pas une valeur, elle est un sentiment qui se construit et se mérite et jamais définitivement acquis.
    A-Intérêt national, on s’en fiche
    C’est pourquoi, Il ne s’agit pas d’être fier de sa région, de son club— (ce sentiment est le facteur de la culture de la haine et le prétexte à des manifestations récurrentes entre enfants de l’Algérie ; de régionalisme de népotisme et de partis pris) mais de son pays l’Algérie.
    Nous demandons au Gouvernement de lutter contre l’oubli et la culture de la haine par :
    · Une justice entre tous les clubs algériens
    · Soustraire l’entreprise nationale Sonatrach des subjugations des uns et des convoitises des autres
    · Eloigner la Sonatrach des vautours parce qu’elle est, qu’on le veuille ou non, un attribut de la souveraineté nationale
    · Une presse responsable, objective, nationale et impartiale
    · Développer le sentiment de la justice entre tous les clubs
    · Bannir le favoritisme tout en cessant d’encenser et sacraliser ce MCA ; comme il n’a jamais existé
    · Faire de l’arbitrage une culture nationale par le comportement intègre, la transparence des désignations
    de contrôle et de suivi et non pas par les désignations par SMS mais publiquement par communiqués. Que tous les responsables de l’arbitrage, prennent leur responsabilité et, se disent—pour mot d’ordre—Qu’il faut toujours, rendre justice avant d’exercer la charité ; parce que justice et charité ne font pas bon ménage.
    · Cessons de contrefaire et confisquer l’histoire au profit d’un club, comme si les autres clubs étaient des harkis, goumis, supplétifs, vassaux des cartes blanches, des DRAG, indicateurs SAS et membres du salut public…
    Messieurs les décideurs, mettez bien dans la tête que, la conception algérienne de la notion de l’intérêt général ne résulte pas de la somme des intérêts particuliers. Au contraire, l’existence et la manifestation des intérêts particuliers ne peuvent que nuire à l’intérêt général qui, dépassant chaque individu et, est en quelque sorte l’émanation de la volonté de la collectivité des citoyens en tant que telle.
    Ce à quoi, nous tenons à témoin, devant Dieu le TOUT Puissant et devant toute la nation, tous les algériens de cette imposture teintée d’occultisme qui ravit le bien du peuple et frustre les autres clubs de leur du.
    Pour le moins que l’on vous accablera de violents reproches, aucun quitus ne vous sera accordé par Dieu le tout puissant et aucune mesure de mise hors cause ne vous sera consentie par le peuple : « Vous ne saurez garder un serpent dans votre sein, sans que vous exposiez au hasard de vous en être piqués. ».Cardinal de Richelieu
    B-l ’arbitrage : mascarade, désordre, corruption, imbroglio…..
    C’est pourquoi nous nous autorisons à poser les questions suivantes : un club de l’intérieur qui cherche le HUI CLOS, peut-il assurer le résultat comme le fait le MCA avec 06 hui clos 06 victoires jusque-là ?
    Un club de l’intérieur puni par un HUI CLOS peut-il influencer l’arbitre et assurer les trois points comme le fait le MCA ? Jamais….Chers messieurs. Cela est moins vrai que jamais… !
    D’ailleurs, afin d’éviter la télévision et impliquer en toute quiétude l’arbitrage maison en sa faveur, c’est toujours le MCA qui prémédite la sanction du HUI CLOS…Sauf pour ceux qui se voilent la face.
    Ce à quoi, il est impératif que tout club sanctionné du HUI CLOS jouera à 300 kilomètres, loin de ses basses, en présence du public et de la télévision.
    N’avons –nous pas constaté que la complicité de la télévision, pour les clubs algérois –en particulier MCA/ USMA) est flagrante. Elle répète toutes les actions en images qui profitent aux clubs algérois et font l’impasse sur les images évidentes qui profitent aux clubs de l’intérieur.
    Ne constatons-nous pas qu’il y a deux champions en Algérie ; l’un champion d’Alger et l’autre champion d’Algérie ? Un club algérois ne joue-t-il pas 18 matchs sur 30 à Alger ?
    Ce championnat est complètement faussé par le MCA et l’USMA ; championnat qui a laissé pantois, initiés et spécialistes éclairés de par le monde, alors que l’explication est tout a fait évidente et, qui n’est autre que l’œuvre des ces deux clubs algérois qui ont cherché et cherchent toujours à déterminer les résultats des autres clubs pour éviter la relégation ou s’accaparer du titre de champion, comme il s’est passé durant—la décennie noire—et les saisons 2010-2013-2014 et 2014-2015 et 2015-2016 :
    1. Résultats étriqués, trop de matchs nuls pour laisser l’opportunité, si c’est nécessaire, aux clubs algérois loin du purgatoire.
    2. Arbitrage et télévision ont accompli piteusement leur mission pour sauver les clubs algérois par, faire l’impasse des rencontres du MCA pour bénéficier des largesses de l’arbitrage (Boukeoussa, Mial, Gherbal, Abid Charef et en particulier Zouaoui, Bassiri et Aouina …).
    Ce Zouaoui, n’avait-il pas été, par sa déloyauté, la cause de incidents dramatique qui avaient émaillés les rencontres USMA /MC Saida qu’il avait dirigées en aller et retour ?
    3. Pour la coupe d’Algérie, édition2016, Boukouassa avait fidèlement accompli sa mission, en
    défrichant le terrain au MCA pour gagner cette édition, par l’élimination du MOB contre le NAHD. Sic : (la déclaration de ZIZI- dirigeant du MOB) et celle de l’ESS contre l’USMBA (à revoir ces rencontres en toute neutralité) et l’insolite élimination de l’USMBA contre le NAHD par cette bizarroïde remise de touche du joueur Ghazi qui, s’en est longuement targué du péché par arrogance devant 40 millions de téléspectateurs algériens….! C’est normal…. ! On applaudit à Alger?
    4. Le scandale du match DRBT-MCA qui a secoué le monde, sciemment ourdi par ZOUAOUI au profit du
    MCA, sans oublier, comment l’arbitre maison, a fait perdre la JSK au profit de l’USMA par ce penalty généreux, le CAB en coupe d’Algérie ? Nous sommes derechef déroutés ; comment l’arbitre a sacrifié l’US Chaouïa, en offrande, au profit du CRB en coupe d’Algérie ? A quoi servent les compliments de consolation qui sont surcroîts d’affliction… !Nous sommes tous désemparés, par de tels comportements funestes, préfigurant désolation, désastres et désespoir et, à leurs auteurs, nous dirons : Malheur à l’homme par lequel le scandale arrive.
    5. La tromperie est choquante et le problème de l’arbitrage est plus profond. Sinon ; comment expliquer le
    comportement des arbitres des rencontres : JSK-MCO et de l’ESS- MCO qui ont délibérément celé le sort de ces deux rencontres, par des nuls, afin que l’une de ces deux équipes ne s’éloignent pas du MCA et de l’USMA.
    Les clubs algérois ne s’arrangent-ils pas entre eux pour se maintenir tous en première division ?
    Sommes-nous en mesure de nier, en toute âme et conscience ; le bien fondé des déclarations-scandales du Franc-algérien Yanis takerboucht, ex : joueur de l’Arbaa ?
    Ne reconnaissons-nous pas, par souci d’équité, que la finale de la coupe d’Algérie devra être délocalisée, en dehors de la capitale, chaque fois qu’il y a un club algérois en finale ?
    Peut-on nier que les supporters de l’intérieur sont lésés dans leur propre pays, par cette domiciliation arbitraire ?
    Finalement, n’est-il pas plus grave de persister à couver le MCA au détriment des autres clubs ? N’est-il pas injuste de froisser les algériens et semer la culture de la haine par ces pratique Moyenne-âgeuses,ces préjugés et déclarations qui incitent à la désobéissance civile?
    L’arbitrage est complètement rongé par un drolatique quiproquo, il faut le dire et, la gangrène qui consume ses fondements et érode son tissu par des décisions arbitraires qui défient les présidents de clubs de l’intérieur par la partialité manifeste de ces arbitres au profit des clubs du centre. Ces présidents nous sont pas dupes, et comprennent aux détails près, ces arbitres qui stimulent l’engagement physique irrégulier, l’anti jeu du club qu’on leur recommande le bénéfice des coups de pousse et des largesses et, à la moindre réaction des joueurs de l’équipe adverse ; messieurs les arbitres maison, brandissent les CARTONS à tout va.
    Tout cela finit toujours par la pénaliser au moins par une expulsion…Et c’est le même topo récurent.
    De même, peut-on espérer un jour que les instances du football puissent se défaire du bâillon qui leur est imposé par ces clubs algérois, et dire que l’intérêt national commence à être positivement perçu dans la logique défendue par les puristes et par ceux qui observent les dispositions du Dieu en bon Musulmans ? À vrai dire, non : « Nous ne comptons pas sur la justice de celui dont l’esprit manque de justesse. ».Car, a fortiori, nous dirons :
    « Le plus horrible spectacle, est de voir violer la justice par l’homme préposé pour la rendre. »…Et c’est malheureux.
    En revanche, face à la perception évidente de l’abus d’autorité avec un mépris accusateur des décideurs des instances sportives, de l’injustice, du parti pris et du comportement régionaliste algérois ; l’usurpation est perçue de plus en plus comme une trahison nationale (d’où l’exigence de probité et de la lutte anti-corruption n’est jamais perçue chez ces décideurs). La confiance envers l’institution nationale est ainsi bafouée.
    En outre, le sentiment de fracture entre le juste et l’arbitraire est de plus en plus forte au sein de l’opinion sportive des Algériens de l’intérieur comme adversité que, comme distraction puérile chez les algérois.
    A ce constat amer, nul ne pourra disconvenir que : « L’arbitraire est au moral ce que la peste est au physique ».

    Enfin, tout est l’œuvre, il faut le souligner, de la commission centrale d’arbitrage et les deux autres commissions, de litige et de discipline qui, restent très distantes et peu enclines jusqu’à l’indifférence ; voire même à la défiance, envers les clubs de l’Est à qualifier arbitrairement leur doléance d’irrecevable et d’iniques, en prenant pour base « légales »,comme ils espèrent ; la suite des faits pour leurs conséquences.
    C-La réforme, oui ; la chienlit, non……
    La réforme sportive décidée en 1977, initiée par l’ancien président de la République, feu Houari Boumediene, contrairement à l’offrande de la Sonatrach au profit du MCA illicitement perpétuée , a donné un véritable coup de fouet aux athlètes et remis le sport national sur les bons rails.
    Parmi ses mesures salutaires pour le football national ; tous les clubs de la division une ont été parrainés, au même pied d’égalité—sans distinction— Par des sociétés nationales –et il était fait obligation aux clubs d’ouvrir des écoles de sport et de consentir un meilleur investissement aux jeunes catégories. En dépit des résultats encourageants obtenus une saison après sa mort, cette politique a été abandonnée par des mesures d’exclusion qui ne disaient pas leur mot.
    Peu de temps après , l’incompréhensible bizarrerie vient toujours de ces responsables de la Sonatrach qui ont reconduit, à l’exception de tous les clubs, le parrainage et la prise en charge totale du MCA de 1977à nos jours, en empruntant cette fois-ci la théorie de l’accessoire, en flagrante fraude à la loi, et au mépris de la législation en vigueur ; qui n’englobe que les biens meubles et immeubles appartenant à l’Etat, aux collectivités territoriales, aux groupements ou établissements publics, et affectés à une utilité publique prévue par les dispositions de la constitution.
    Cela signifie qu’à contrario il existe un domaine privé avec un régime juridique différent entre les deux. Cependant, il est arrivé que des propriétés publiques soient soumises à des régimes juridiques qui se superposent, d’où l’emprunt à la théorie de l’accessoire dont seul, le Conseil d’Etat en apprécie la légalité et l’opportunité dans ce cas d’espèce.
    Néanmoins, ces décideurs, recourent à cette théorie pour tromper l’opinion publique et élargir, lato sensu, le champ du domaine public. Car un bien ne peut- être intégré au domaine public sans avoir fait l’objet d’une
    affectation légale (seulement par voie de nationalisation). Mais ces messieurs, en machiavéliques rusés ; créent une filiale de la Sonatrach, dénommée : SPA-Doyen /MCA…Et tout le monde avale la défécation…Cette ruse a permis de dérouter initiés et juristes…Tant mieux de l’avanie ; c’est le MOULOUKHIA… !
    A l’inverse, le MCA est une association privée qui relève du domaine privé et, donc du droit commercial.
    Par conséquent, il s’agit de savoir à quel point la théorie de l’accessoire permet d’élargir le champ du domaine public. Il faut surtout s’en tenir au fait du droit et à la définition stricto sensu de cette théorie a tendance toujours restrictive.
    Malheureusement, en fideles serviteurs des clubs de la capitale, ces responsables enfourchent clémence et candeur à l’endroit des clubs Algérois en les choyant par des décisions appropriées à souhait. Le mal est profond, la haine est viscérale ; vous vous en rendiez compte…. !
    N’a-t-on pas dit : « Allonge tes pieds en proportion de ton tapis »… ?
    N’est-il pas temps à ce que les pouvoirs publics: assemblées élues, média et autres interviennent pour arrêter le cirque, synonyme de signe annonciateur d’un PORT SAID bis à l’ALGERIENNE….?
    N’est-il pas temps que le ministère en charge de l’audiovisuel intervienne pour mettre en garde ces bicoques de télévisions privées qui médiatisent les clubs algérois à la limite de filmer leurs joueurs dans les latrines en train de chier ?Est-il acceptable que des pseudo-journalistes de chaines privées invitent seulement les deux joueurs de l’USMA et du MCA(Belaili et Merzougui), sanctionnés pour dopage et produits prohibés et, suivent piteusement les Tunisiens qui chargent injurieusement Monsieur RAOURAOUA pour ne pas avoir disculpé Belaili comme l’a fait le TAS ? Ces journalistes, aux aboies des clubs algérois, présentent aux jeunes algériens le mauvais exemple et se moquent de nous tous , par leur infantilisation des adultes, la puérilisation des enfants, la destruction des rapports de générations est accomplie, tout cela revient à dire, qu’ils sont voués pitoyablement aux clubs de la capitale et sans se rendre compte de l’éventuelle fournaise: « Si la planète se réchauffe, c’est qu’on s’rapproche de l’enfer ».Comme ça, Messieurs les journalistes, vous confessez que vous avez profané le sacré et sacralisé le profane…Et vous oubliez que l’heureux est celui qui n’a jamais connu le goût de la renommée ; l’avoir, c’est le purgatoire ; le désirer, c’est l’enfer…. Pauvre Algérie… !
    Messieurs les décideurs, évitons de mettre de la poudre aux yeux en laissant l’injustice perdurer et prendre des proportions alarmantes et, nous serons toujours dans l’extrême injustice qui consiste, pour vous en décideurs, à paraître juste tout en ne l’étant pas.
    Ceci dit, il y a entre le droit de s’exprimer et la pertinence de le faire, une distance qui réside dans l’intégrité et l’honnêteté, c’est-à-dire, dans la plus totale justice de celui qui croit au jour dernier.
    Sachez bien, que nous, 20 Millions d’Easterns algériens, sommes les serviteurs de toute l’Algérie ; une et indivisible, détenteurs de la flamme libératrice (Pas l’exclusivité, par respect à toute la nation algérienne). Votre sombre et évanescente étincelle ne vous servira à rien, sans nous—EASTERNS, puisqu’elle s’éclipsera dans l’ombre ! Et que par conséquent, vous ne réussirez pas sans nous ! Le sinistre chef des parachutistes français qui avait dynamité la cache d’Ali la Pointe…En réponse à la déduction de son lieutenant .Sic : «Non, tu te trompes …Alger n’est pas l’Algérie ».
    Nous pensons que le moment est venu de vous dire ce que nous avons appris et d’en tirer une conclusion, non ? Et bien notre conclusion c’est que votre haine est une saloperie ! La vie est trop courte pour passer son temps à cultiver la haine ! Ça n’en vaut pas la peine.
    Toutefois, Il est moins facile de mesurer l’impact d’une entorse matérielle due à une injustice— comme c’est le cas de la couvade injurieuse du MCA, qu’il n’est facile de mesurer le contrecoup d’une injustice, en matière de privation et de frustration de son du, au caractère attentatoire aux droits et à la dignité humaine dont le stigmate restera à jamais indélébile.
    Notre histoire nous enseigne toujours que c’est bien de terminer le devoir par un sacrifice que de nier les sacrifices des siens et se complaire dans le pédantisme. Elle nous dit également que quelqu’un a déjà dû en faire une bonne, si nous ne pouvons pas faire mieux, autant la lui reconnaitre ou la lui emprunter carrément ! Nous avons choisi, nous, Easterns que nous sommes, celle-là et nous espérons qu’elle vous plaira.
    Car, nous ne sommes pas ennemis, mais citoyens ! Nous ne devons pas être cupides et s’accaparer du bien des nôtres. Même si la passion de votre Mouloudia vous déchire, elle ne doit pas briser l’affection qui nous lie. Les cordes sensibles de la mémoire vibreront dès que nous les toucherons, elles raisonneront au contact de ce qu’il y a de meilleur en nous.
    Alors, rendons la Sonatrach à son propriétaire ; le peuple ; reconnaissons ses sacrifices et cessons de le frustrer.
    Parfois, il faut savoir se désister de ce que nous avons en commun pour le bien de toute la nation. Mais, ce la ne veut pas dire que nous ne devons plus nous en subjuguons ensemble la propriété commune…
    En définitive, nous sommes surs que nous nous aimons mutuellement plus que nous le pensions ; pour autant qu’on cesse de prendre en charge illégalement le MCA, club jusque là, injustement choyé, couvé, dorloté et magnifié comme jamais égalé en Algérie et en Afrique. N’est-il pas civile de répondre honnêtement que, ce MCA est une Machine BUDGETEVORE dont la prodigalité dépasse de loin les dépenses d’un département ministériel? Ce club, a malheureusement dévoré, à lui seul, la bagatelle de 290Milliards de centimes, seulement pour la saison 2014-2015.
    Pour clore, nous paraphrasons Jean-Paul Sartre : « Notre football est plein d’iniquité ; si nous l’acceptons, nous sommes complices, si nous le changeons, nous sommes les bourreaux. ».
    C’est incroyable, l’iniquité se banalise en cliché et, anime bien le sentiment d’injustice… !
    Le paradoxe, n’est-il pas l’idée selon laquelle, le bourreau serait plus heureux que sa victime. Le prédateur que sa proie. Le riche plus heureux que le pauvre. L’abuseur que l’abusé…Notre mot d’ordre est : « ne pas désobéir à l’ordre inique ».Car, selon notre foi et en toute âme et conscience, la position du bourreau est inférieure à celle de victime. Si c’était l’inverse, les Harkis, Traitres et collabos pendant la révolution de novembre1954, auraient impliqué une majorité d’Algériens. Ce ne fut pas le cas. Seule une infime minorité de la population algérienne y céda.
    Alors, réveillez-vous, reconnaissez de vos crimes, avec la volonté ferme et sincère de vous amender ; tout en pensant à chaque instant, que vous êtes hantés par l’idée de vos mauvaises actions et la sensation du temps. Pour vous, et il n’y a que deux moyens pour échapper à ce spectre : l’expiation ou la repentance. Choisissez… ?
    Mais, c’est le purgatoire qui nous attend tous……Sauf les CHOUHADA….. !
    Conclusion
    Dans le football, la ségrégation en Algérie n’est pas nouvelle, car elle est de plus en plus liée à l’esprit régionaliste et à la pénurie savante qu’à la pauvreté des nécessiteux. Elle tend à devenir dramatique, tant par la ségrégation géographique que pour d’autres considérations ; qui sont de peu d’importance que le football en tant que phénomène de masse.
    Malheureusement, il constitue une fonction inverse de celle des doléances légitimes. Fonction de déchirement des uns, fonction discriminante des autres, sous le poids des rapports de la culture de la haine dont l’étendue, sans limites, de ces prétentieux et, de l’empire qu’ils s’arrogent en dernière analyse.

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