Le koweïtien Ibn Fatouta salué par les algériens et ignoré par Mermouri (Vidéo)
DIA-02 janvier 2018: Le globe-trotter koweïtien Adel El douani plus connu sous le nom célèbre Ibn Fatouta (En référence au célèbre explorateur arabe Ibn Batouta) qui a réalisé plusieurs vidéos faisant la promotion du tourisme algérien d’est en Ouest a rencontré un grand succès en Algérie. Ses vidéos ont été saluées par les algériens qui ont beaucoup apprécié les messages véhiculés par ce jeune Koweitien qui visite pour la première fois l’Algérie. Il a à travers ses vidéos effacé cette image véhiculée par les médias arabes et notamment Al Jazeera d’un pays en guerre civile et où la violence et le terrorisme sont le lot quotidien.
Avec ses vidéos, il a réussi non seulement à améliorer l’image de l’Algérie, mais surtout à encourager les touristes venant des pays du Golfe notamment à venir chez nous.
Invité par un ami algérien, Adel a visité plusieurs wilayas du pays, Alger, Bejaia, Tlemcen, Annaba et Oran et à chaque fois il est bien accueilli avec son ami qui filme, avec la même chaleur et la même bonté.
Adel a non seulement fait la promotion des vestiges de l’Algérie, la beauté de ses sites naturels aussi la valeur de son patrimoine historique à travers les sites romains et musulmans.
Un voyage bénéfique pour cet enfant du désert et du Sahara pour faire découvrir un pays arabe situé entre l’Europe et l’Afrique. Le Koweitien Adel alias Ibn Fatouta n’est pas le premier voyageur étranger à vanter les mérites et la beauté de l’Algérie, ses vidéos ont fait tellement le buzz que la chaîne Ennahar Tv (toujours à l’affût d’invités de marque), l’a convié sur son plateau et lui a offert sa première télévision. Le jeune Koweitien qui a fait le tour du monde n’a jamais eu un accueil aussi chaleureux que celui qu’il a trouvé en Algérie. La seule ombre au tableau c’est l’indifférence du ministre du tourisme Mermouri, qui non seulement est absent du terrain de son secteur, mais en plus oublie de saluer celui qui fait la promotion du tourisme algérien « gratuitement ».
Salim Bey