L'ambassade d'Iran à Alger nie les allégations marocaines de liens présumés avec le Polisario - DIA
31552
post-template-default,single,single-post,postid-31552,single-format-standard,qode-listing-1.0.1,qode-news-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,qode_grid_1400,footer_responsive_adv,hide_top_bar_on_mobile_header,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-theme-ver-12.0.1,qode-theme-bridge,bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-4.12.1,vc_responsive

L’ambassade d’Iran à Alger nie les allégations marocaines de liens présumés avec le Polisario

DIA-02 mai 2018: L’ambassade d’Iran en Algérie a rejeté ce mercredi 02 mai 2018 les accusations du Maroc de “soutenir” le Front Polisario, dans un communiqué publié par l’agence IRNA.

Le Royaume du Maroc a décidé mardi de rompre ses relations diplomatiques avec l’Iran en raison du “soutien” au Front Polisario, représentant légitime du peuple sahraoui.

 “Le Maroc va rompre ses relations diplomatiques avec l’Iran en raison du “soutien” de Téhéran au Front Polisario”, a déclaré le ministre marocain des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Nasser Bourita, lors d’une conférence de presse à Rabat.

Mercredi 02 mai 2018, l’ambassade d’Iran à Alger a “démenti formellement les allégations mensongères marocaines sur une présumée relation avec le Front Polisario”.

Cette représentation diplomatique a affirmé ”son engagement à exercer son rôle légal et naturel dans la consolidation et l’approfondissement des bonnes relations entre les deux pays frères, l’Iran et l’Algérie”.

Celle-ci a ainsi exigé des “preuves” confirmant les allégations marocaines.

Le Royaume du Maroc, selon des médias marocains, accuse notamment l’Iran de “soutenir le Polisario militairement” via “un élément dans son ambassade à Alger”.

Cette annonce intervient au lendemain de l’adoption par le Conseil de sécurité de l’ONU, vendredi dernier, de la résolution 2414 qui réaffirme le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et appelle les deux parties au conflit, le royaume du Maroc et le Front Polisario, à des négociations “sans conditions préalables et de bonne foi”, sous les auspices du Secrétaire général de l’ONU, et prorogeant le mandat de la Minurso de six mois

0Shares