Le Maroc utilise le drame des réfugiés syriens contre l’Algérie
DIA-23 avril 2017: Le Maroc utilise tous les moyens pour tenter d’exposer l’épineux problème de la fermeture des frontières avec l’Algérie. En en effet, le Maroc a tenté d’exploiter le drame des réfugiés syriens pour accuser l’Algérie, d’avoir expulsé vers sa frontière un groupe de 55 Syriens, dont des femmes et des enfants « dans une situation très vulnérable », pour « semer le trouble » sur la frontière et « générer un flux migratoire incontrôlable ».
Dans un communiqué publié samedi soir, le ministère marocain des Affaires étrangères a « exprimé sa profonde préoccupation » et a même convoqué l’Ambassadeur d’Algérie à Rabat pour lui montrer les témoignages et les photos attestant que ces personnes ont traversé le territoire algérien avant de tenter d’accéder au Maroc ».
Au moment où on tente d’attaquer l’Algérie sur la question des frontières, on s’interroge sur le comportement inhumain des autorités marocaines à l’encontre de ces immigrants », des « femmes et d’enfants dans une situation très vulnérable », forcés d’effectuer ce périple avec les « contraintes » du relief accidenté et la forte chaleur. Au lieu de crier au scandale, pourquoi le Maroc ne les accueille pas?
Le Maroc, qui expulse souvent des immigrants africains et syriens sur la frontière algérienne et qui parle d’humanité doit assumer sa responsabilité politique et morale à l’égard de cette situation et doit accueillir ses familles syriennes au lieu d’accuser l’Algérie de tous les maux.
Amir Hani
yassine
lorsqu’on est génétiquement débile, on ne se refait pas
mja
Malheureusement notre race ne mérite pas l’existence dans ce monde
Mohamed Djamel
C’est pas très intelligent. C’est du n’importe quoi. Le Makhnez ne fait que ça depuis 40 ans. Le Maroc oublie seulement ses propres citoyens qui fuient le pays dans des conditions dramatiques ou qui vivent dans certains pays arabes dans des conditions à la limite de la tolérance et de la moralité. En plus, les réfugiés sahraouis sont là à cause de son occupation illégale du Sahara Occidental. Et il ose maintenant parler de ceux que la guerre a fait fuir.