Les résultats des deux sessions du bac pour la fin juillet
DIA-02 juillet 2017: Surprise après surprise à l’éducation. Initialement prévus le 15 juillet, les résultats du Baccalauréat 2017 ne seront annoncés finalement qu’à la fin du mois de juillet. Les candidats devront endurer quinze autres jours de suspense. Cette nouvelle date a été annoncée aujourd’hui par l’inspecteur général au ministère de l’Education nationale, M. Nedjadi Messeguem, juste avant d’être confirmée par la Ministre elle-même.
En effet, lors de son passage ce matin dans l’émission « Café et Journal » de la chaîne Ennahar Tv, M.Messeguem a expliqué que les résultats concerneront tous les candidats à cet examen de fin de cycle, que ce soient ceux qui ont passé la session normale ou ceux de la session spéciale de rattrapage, prévue du 13 au 18 juillet. Juste après c’est la Ministre elle-même qui a annoncé la même date en marge de la clôture de la session parlementaire 2016-2017.
L’inspecteur général a aussi annoncé que les convocations pour la session spéciale de rattrapage du BAC (13-18 juillet) peuvent être retirées à partir de demain mardi 4 juillet sur le site de l’Office national des examens et concours (ONEC). Il a expliqué dans ce sens que « le site de l’ONEC (bac.onec.dz) sera ouvert le 4 juillet pour le retrait des convocations par les candidats, avec le même numéro et le mot de passe que pour la session de juin2017 » en précisant que « seuls ceux déjà inscrits à la session de juin 2017 pourront entrer sur le site et retirer leurs convocations ». Il soulignera dans ce contexte qu’il y aura de « nouveaux sujets » pour cette session spéciale, et que « leur préparation a été déjà entamée ». Concernant la problématique des retards, M.Messeguem a expliqué : « nous avons pris des décisions par rapport à la triche sur les réseaux sociaux, et on a vu que l’utilisation des réseaux sociaux était liée au retard de certains candidats, et cela a touché des candidats non concernés par la triche ». Toutefois, selon lui les mêmes dispositions seront prises comme lors de la session de juin en matière de sécurité et de surveillance contre la fraude. Pour ce qui est du nombre jugé élevé de candidats qui vont repasser la deuxième session, et qui sont au nombre de 100.000, M.Messeguem s’est contenté d’expliquer que cette session est ouverte à tous ceux qui n’ont pas passé la session du bac de juin dernier, avouant « nous ne pouvons identifier les retardataires, ou les absents, car les portes, après 09.00, ont été fermées ». Il est à souligner que pour cette session de rattrapage 299 centres d’examen ont été mobilisés ainsi qu’un grand nombre d’enseignants. Selon un communiqué du Ministère rendu public dernièrement le nombre de candidats à cette deuxième session est de 104.036
Par ailleurs, M.Messeguem a tenu à démentir les rumeurs qui se sont répandues comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux et faisant état de la démission de la Ministre de l’Education.
Lamine Réda
SIXEWEL
Beaucoup de Bacheliers (arabisés) ont arrêté leurs cursus universitaires, car ils ne maitrisent pas les langues vivantes.
Le problème de l’Ecole Algérienne est : le statut de la langue Arabe classique qui est une langue morte, même les baathistes les plus zélés sont conscient de la chose, mais ils n’oseront jamais faire ce qui vient de décider le MAROC depuis l’année scolaire 2016/2017 les matières scientifiques sont enseignées en français dans tous les Etablissements scolaires Marocains.
L’arabisation de masse a produit des zombies en grande quantité, cette question d’arabisation est un tabou pour les baathistes Algériens, il a suffit que BENGHEBRIT abord l’enseignement des langues étrangères pour que les chaînes et les journaux EN-NAHAR et ECHOUROUK se déchaînent pour défendre E-THAWABIT.
Ceux qui enseignent en langue Arabe “YARATEN WAGHRUM DA AAKAZ” comme à dit Mass FERHAT.
C’est cette école arabisée puis (orientalisée par la venue massive des cordonniers Égyptiens) a fabriqué, des milliers d’intégristes -terroristes..!!!
L’Ecole Algérienne est en même temps l’otage et le fonds de Commerce des islamo-baathiste.