Confidentiel: Comment Layla Haddad s’est faite piéger à son jeu malsain
DIA-01 juillet 2018: Ça aurait pu être un excellent poisson d’avril, c’est devenu le premier fakenew politique planifié par une pseudo-journaliste algérienne en panne de soutien médiatique à Bruxelles : Layla Haddad.
En colère pour le manque de solidarité de la presse algérienne locale dans sa guerre ouverte contre le gouvernement algérien suite à la diffusion d’une vidéo à l’intérieur du parlement , Layla Haddad , qui connait bien les rouages de la presse nationale de par sa relation avec un journaliste d’un quotidien national nstallé à Bruxelles, avait deux objectifs tracés avec ce projet: montrer les défaillances de la presse algérienne et surtout titiller le clan Nezzar, avec lequel elle est en guerre ouverte suite aux salves du site de Lotfi Nezzar Algeriepatriotique. Layha Haddad connait les failles de la famille Nezzar et pour créer la zizanie et surtout déclencher la colère du clan de Khaled Nezzar, il fallait inventer ce gros mensonge lié à cette famille. D’ailleurs, c’est sur une blague que tout a commencé. Pour mettre en exécution son sordide projet, Mme Lefèvre cherchait un média qui allait servir de tribune pour la diffusion de ce fakenew. Mais aucun média étranger , notamment un marocain et un autre français qui la soutiennent souvent dans sa campagne contre Alger, n’avait accepté de diffuser son gros poisson. Finalement, la journaliste folle à lier a réactivé son site Cpnews, en hibernation depuis le 16 juin, faute d’information crédible pour diffuser son « khorti ». Sous le titre Révélation fracassante: « Layla Haddad avoue être la fille cachée de Khaled NEZZAR ». L’article comporte un tissu de mensonges sur la famille Nezzar. En s’attaquant à la famille de l’ancien ministre de la défense, la protégée de la délégation européenne, risque gros, surtout qu’elle n’a pas supprimé l’article de son site. Même si elle n’a pas réussi à faire réagir la famille Nezzar, elle a réussi à piéger plusieurs médias électroniques qui se sont précipités pour reprendre l’info diluée sur le net sans prendre la peine de la vérifier. Dans un message d’explication, la pseudo journaliste, qui utilise sa carte de presse européenne, plus pour critiquer l’Algérie et ses médias que pour accomplir le métier pour lequel elle est accréditée, a expliqué les arrières pensées de son jeu malsain sur sa page facebook. Seulement voilà: avec cette action, Layla Haddad a véritablement signé la fin de son combat politique jusque-là crédible contre le pouvoir d’Alger et dévoilé le visage d’une femme prête à tout, schizophrène et déséquilibrée mentalement. Une journaliste qui invente des histoires, qui fabrique des vidéos au sein même du parlement, qui critique la presse locale et qui critique le président pour attirer les regards et les projecteurs de la planète, ce n’est jamais sérieux pour être pris en considération par les médias locaux mais aussi étrangers. Avec cette dernière sortie médiatique Layla Haddad s’est décrédibilisée aux yeux des diplomates et des médias européens qui la soutiennent, car elle s’est sérieusement égarée sur les chemins de l’aliénation ou comme on dit chez nous : Dekhlet Zenkat Lehbal.