Exclusif DIA: Le podcast "mansoutich" est un plagiat d'une vidéo américaine (Vidéo) - DIA
18665
post-template-default,single,single-post,postid-18665,single-format-standard,qode-listing-1.0.1,qode-news-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,qode_grid_1400,footer_responsive_adv,hide_top_bar_on_mobile_header,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-theme-ver-12.0.1,qode-theme-bridge,bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-4.12.1,vc_responsive

Exclusif DIA: Le podcast « mansoutich » est un plagiat d’une vidéo américaine (Vidéo)

DIA-04 mai 2017: Après une étude approfondie et un décryptage du podcast « Mansoutich », nous avons découvert le secret de conception de la vidéo virale de Shamssedine Lamrani alias Dz Joker, qui a fait le buzz sur la toile et qui a fait bouger la société concernant le vote du 4 mai. 

En réalité, le podcasteur  algérien n’a rien créé, mais s’est plutôt inspiré d’une vidéo américaine postée il y a deux ans par l’indo-américain Nauman Sheikh intitulée Intense. Dz Joker a copié le concept qui est très répondu aux Etats-Unis, appelé « Motivation vidéo », qui est utilisé pour défendre les causes nobles: le racisme, l’écologie ou encore la liberté d’expression.   

Le podcasteur algérien ne s’est pas contenté de copier le concept, il a également repris le morceau de musique de Hans Zimmer « Now we are free » (Maintenant nous sommes libres), extrait de la bande annonce du film « Gladiator ». 

Une musique qui correspond parfaitement aux vidéos de motivation qui augmente en rythme à chaque minute. Il y a six ans lors de la révolution arabe, la musique « Now We are free » a été utilisée par des vidéastes pour la révolution tunisienne. (Voir vidéo ci-dessous)   

Le concept ou la posture est également très utilisée par l’américain Prince EA, qui contrairement à Nauman Sheikh se met en valeur sur les images.

Sur Youtube rien ne peut se cacher et cette vidéo américaine a dévoilé au grand jour l’imposture DZ joker qui a voulu utiliser la culture vidéo américaine pour influer sur le choix des algériens.       

Salim Bey 

Envoyer un commentaire

0Shares