Le coronavirus est-il une arme bactériologique lancée par les USA pour ternir la Chine ? - DIA
49247
post-template-default,single,single-post,postid-49247,single-format-standard,qode-listing-1.0.1,qode-news-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,qode_grid_1400,footer_responsive_adv,hide_top_bar_on_mobile_header,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-theme-ver-12.0.1,qode-theme-bridge,bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-4.12.1,vc_responsive

Le coronavirus est-il une arme bactériologique lancée par les USA pour ternir la Chine ?

DIA-28 février 2020: Depuis quelques jours plusieurs thèses sont avancés pour expliquer la propagation du Coronovirus. Parmi les théories du complot qui ont pu circuler, le coronavirus – dont l’épidémie a débuté en Chine en décembre et qui servirait aux États-Unis pour mener une guerre économique contre la Chine, serait une arme biologique fabriquée par la CIA, et qui entrerait dans le cadre d’une stratégie occidentale de messages anti-Chine.

Une théorie qui a été largement propagé par les médias sociaux russes. Ce qui a conduit des diplomates américains mettent en cause la Russie pour une campagne de désinformation en ligne sur le coronavirus (Covid-19).

Selon des diplomates américains, des milliers de profils sur Facebook, Instagram et Twitter sont des vecteurs de propagation de d’information sur le coronavirus (Covid-19). Une campagne de désinformation portant atteinte aux États-Unis et qui serait liée à la Russie.

Secrétaire d’État adjoint par intérim au Bureau des affaires européennes et eurasiatiques des États-Unis, Phillip Reeker a déclaré à l’AFP :  » L’intention de la Russie est de semer la discorde et d’affaiblir les institutions et alliances américaines, notamment par des campagnes d’influence malveillante souterraines et coercitives. « 

Il ajoute qu’en propageant de la désinformation sur le coronavirus,  » des acteurs russes malveillants choisissent une fois de plus de menacer la sécurité publique au détriment de la réponse sanitaire mondiale. « 

Cette campagne de désinformation aurait été identifiée mi-janvier avec des messages en anglais, ainsi que dans d’autres langues comme le français par exemple. Les comptes impliqués ne seraient pas des bots, mais des comptes avec des personnes bien réelles sous de fausses identités.

Face à de telles allégations, une porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères a opposé un démenti et a déclaré selon des propos rapportés par l’agence de presse russe TASS :  » C’est une histoire délibérément fausse. « 

Pour l’heure, aucune accusation chinoise n’a été lancée contre les Etats Unis.  Mais la thèse du complot américain se confirme quand on découvre le ravage qu’elle a fait en Iran, touchant même des hauts responsables iraniens. 

Amir Hani 

0Shares