L'institut algérien de cinéma réouvre ses portes 60 ans après sa fermeture - DIA
79374
post-template-default,single,single-post,postid-79374,single-format-standard,qode-listing-1.0.1,qode-news-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,qode_grid_1400,footer_responsive_adv,hide_top_bar_on_mobile_header,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-theme-ver-12.0.1,qode-theme-bridge,bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-4.12.1,vc_responsive

L’institut algérien de cinéma réouvre ses portes 60 ans après sa fermeture

DIA-01 octobre 2024: Il y a soixante ans, a été créé le premier institut de cinéma en Algérie, juste après l’indépendance, plus exactement le 14 août 1964, par le défunt Centre National de Cinéma (CNC) dirigé par Mohamed Sadek Moussaoui.  Aujourd’hui, Plus de 50 ans après sa fermeture par le président Boumédienne sera inauguré un nouvel institut qui aura la même vocation, à Koléa, par la ministre de la Culture ministre de la Culture et des Arts.

« C’est une instruction du président de la République Abdelmadjid Tebboune !« . L’institut portera le nom de l’un des grands faiseurs de gloire du cinéma algérien, lauréat de la Palme d’Or, l’artiste émérite Mohamed Lakhdar Hamina”, a déclaré, samedi 8 juin, Soraya Mouloudji, ministre de la Culture et des Arts, lors de la cérémonie de remise du Prix Ali Maâchi du président de la République pour les jeunes créateurs, au Centre international de conférences (CIC) Abdelatif-Rahal, à Club des Pins, à l’ouest d’Alger.

En 1964, la liste des premiers candidats admis à la première et dernière école de cinéma en Algérie a été publiée dans El moudjahid …… Certains noms sont connus et sont devenus de grands réalisateurs et techniciens comme Merzak Allouache, Ifticène, Beloufa, Rachid Benallal, Yahia Debdoub, Yazid Khodja, Rachid Merabtine, Sid Ali Mazif, Fettar, d’autres ont disparu ou n’ont pas exercé!

Salim AGGAR, ex-directeur de la Cinémathèque Algérienne 

Envoyer un commentaire

0Shares