Malek Bensmail revient avec un documentaire sur le bilan Bouteflika sur ARTE (Vidéo)
DIA-27 septembre 2021: Le documentariste algérien Malek Bensmail revient sur l’Algérie avec un documentaire politique sur Arte ce 28 septembre 2021 à 23h40. Ce documentaire fait suite à la diffusion de Algérie, les promesses de l’aube, immersion dans le hirak, diffusé à 22h45) et visible en replay dès le 21 septembre et jusqu’au 26 novembre sur arte.tv, le nouveau film de Malek Bensmaïl est un retour sur les trois dernières décennies de la politique étrangère de l’Algérie. Comme à son habitude, il offre ici un décryptage pointu et critique sur l’Algérie.
Plusieurs ministres, diplomates et conseillers à l’image de Lakhdar Brahimi, Abdelaziz Rahabi et Abdelkader Tafar, témoignent dans ce documentaire sur le bilan de Bouteflika quelques jours après son décès.
On retrouvera également les anciens ambassadeurs en Algérie, le français Xavier Driencourt et l’américain Robert Ford, qui parleront de leur passage en Algérie.
Même l’ex président François Hollande intervient pour parler de la question su Sahara Occidental indiquant qu’ « il est de l’intérêt de tous d’avoir des conflits gelés » : cela conserve le soutien au régime.
Fidèle à sa vision critique sur l’Algérie, Malek Bensmail nous offre une immersion dans la politique algérienne de Bouteflika, le tout aidé par son producteur privilégié l’INA.
Salim Bey
Mellah hocine
L’argent partout et l’argent pour tous , telle etait la devise d’un Bouteflika , des Bouteflika puisque son frère Said est impliqué dans toutes ces malversations financieres à l’égard de ces nouveaux hommes » d’affaire » qui ont fleurit durant les quatre mandats de son règne. D’ailleurs une étiquette indélébile lui colle jusqu’a sa mort : L’homme qui déteste son peuple. C’est l’une des légendes muettes qui accompagnent Abdelaziz Bouteflika depuis le début de son règne, en 1999. Je suis l’Algérie tout entière », avait-il déclaré en 1999 en accédant pour la première fois au pouvoir. Les vingt années qui suivirent ne démentirent pas l’ambition de l’homme ni l’obsession du dirigeant.