Plus de 33 000 tonnes de blé dur importé refoulées à Annaba : Qui veut empoisonner les Algériens ? - DIA
61966
post-template-default,single,single-post,postid-61966,single-format-standard,qode-listing-1.0.1,qode-news-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,qode_grid_1400,footer_responsive_adv,hide_top_bar_on_mobile_header,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-theme-ver-12.0.1,qode-theme-bridge,bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-4.12.1,vc_responsive

Plus de 33 000 tonnes de blé dur importé refoulées à Annaba : Qui veut empoisonner les Algériens ?

DIA-11 juin 2021: Décidemment les tentatives d’empoisonner les Algériens par l’importation du blé avarié se poursuivent, ce qui dénote de l’esprit sans scrupule des responsables du secteur qui ne se soucient pas du tout de la santé des Algériens.

Selon l’APS, la direction du Commerce de la wilaya de Annaba a refusé ce jeudi l’admission et le déchargement au niveau du port d’une cargaison de blé dur importé, estimée à 33 492 tonnes, pour non-respect du « critère de qualité », suite aux résultats des analyses effectuées par les services concernés relatives au contrôle de la conformité des produits aux frontières, a-t-on appris jeudi du directeur local du commerce, Rabah Belhout.

Cette cargaison a été importée du Canada pour le compte de l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) vers le port d’Annaba, où elle a été soumise aux procédures de contrôle réservées pour les produits importés. Selon les rapports d’expertise, la direction du Commerce a refusé l’admission de cette cargaison, tandis que l’Office algérien interprofessionnel des céréales se chargera de parachever les procédures juridiques liées à la gestion de tels cas, conformément aux dispositions juridiques incluses dans le contrat d’importation, a-t-il dit.

En novembre 2020, 30 000 tonnes de blé tendre avarié, importées de Lituanie, ont été saisies, ce qui avait amené les autorités du pays à limoger le directeur général de  l’OAIC, Abderrahmane Bouchahda.

A l’époque, il avait fallu l’intervention du Président Tebboune pour qu’une enquête soit déclenchée, le ministre de l’Agriculture, Abdelhamid Hemdani, s’étant contenté de déclarer qu’il s’agit «d’une opération commerciale entre deux parties, régie par un cahier des charges, dont certaines spécificités n’ont pas été respectées par le fournisseur lituanien».

Amir Hani

Envoyer un commentaire

0Shares