Polémique autour des prières de l'Aid et du vendredi : silence des Affaires religieuses et du HCI - DIA
22375
post-template-default,single,single-post,postid-22375,single-format-standard,qode-listing-1.0.1,qode-news-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,qode_grid_1400,footer_responsive_adv,hide_top_bar_on_mobile_header,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-theme-ver-12.0.1,qode-theme-bridge,bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-4.12.1,vc_responsive

Polémique autour des prières de l’Aid et du vendredi : silence des Affaires religieuses et du HCI

DIA-01 septembre 2017: Ce qui s’est passé ce vendredi à l’occasion du premier jour de l’Aid el Adha rappelle les années de la débandade quand chacun jeûnait et célébrait l’Aïd selon ses propres convictions. En  ce vendredi, les fidèles n’ont pas su à quel saint se vouer. Dans certaines mosquées la prière du vendredi a été accomplie, alors que dans d’autres, notamment les mossala, c’est la prière du Dohr qui a été accomplie.
La prière du vendredi est une obligation pour tous les musulmans pratiquants et comporte deux rakaât. Elle est précédée de la khotbat d’el joumaâ (prêche du vendredi).En revanche la prière du dohr comporte quatre rakaât et n’est précédée d’aucun prêche. Elle est accomplie tous les jours, mais le vendredi elle devient salat el joumouaâ (prière du vendredi).
Devant cette confusion, créée par les mossala (mosquées non agréées), le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs et le Haut conseil islamique (HCI) n’ont pas réagi. Il fallait que ces deux institutions de l’Etat interviennent pour mettre fin à cette débandade, entretenue par des mossala qui semblent échapper à l’autorité et au contrôle de l’Etat, représentés par le ministère des Affaires religieuses et le HCI.
 Amir Hani  
0Shares