Les journalistes ont menacé de boycotter la conférence de presse du porte-parole du gouvernement - DIA
41619
post-template-default,single,single-post,postid-41619,single-format-standard,qode-listing-1.0.1,qode-news-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,qode_grid_1400,footer_responsive_adv,hide_top_bar_on_mobile_header,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-theme-ver-12.0.1,qode-theme-bridge,bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-4.12.1,vc_responsive

Les journalistes ont menacé de boycotter la conférence de presse du porte-parole du gouvernement

DIA-10 avril 2019: Les journalistes qui se sont déplacés ce jeudi au Palais du gouvernement pour assurer la couverture médiatique de la conférence de presse du ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Hacen Rabhi, avaient menacé de boycotter cette première sortie médiatique du ministre.
Les journalistes s’étaient présentés sur place à 12h, la conférence de presse qui devait intervenir à la fin du Conseil du gouvernement, était prévue à 12h30. Il se trouve qu’à 14h passées, la conférence de presse n’avait pas encore commencé. Pis encore, les journalistes qui étaient «parkés» au niveau du hall du Palais du gouvernement, étaient exposé à un courant d’air qui les avait carrément gelés.
Touchés dans leur amour propre du fait de ce mépris de la part du gouvernement, les journalistes avaient décidé de quitter le Palais en signe de protestation contre le manque de respect de la part du gouvernement.
C’est ainsi que Rabhi s’est amené en catastrophe pour animer une conférence de presse d’une heure et demie au cours de laquelle il a esquivé les questions importantes relatives aux revendications des manifestants qui marchent dans les rues et qui revendiquent le changement.
Rabhi a en plus tiré à boulets rouges sur «une certaine presse» qu’il a traitée de «mauvaise foi» pour ne pas avoir rapporté ses déclarations sur la révision de la distribution de la publicité au profit des différents médias. Il aura réagi d’une manière épidermique surtout après que l’a présenté comme étant le neveu de Tayeb Belaiz, l’actuel président du Conseil constitutionnel. Rabhi a démenti cette rumeur en s’attaquent d’une manière virulente à la presse. 
Mohamed Nassim 
0Shares