Le général à la retraite Ali Ghediri condamné à 4 ans de prison ferme - DIA
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Le général à la retraite Ali Ghediri condamné à 4 ans de prison ferme

DIA-23 septembre 2021: Après des heures d’auditions et de passages à la barre, le verdict est tombé vers minuit: Le général à la retraite Ali Ghediri a été condamné à quatre de prison ferme, ce mercredi 22 septembre au tribunal de Dar El Beida à Alger.

Le général à la retraite qui a déjà passé 27 mois de détention provisoire fait face à plusieurs chefs d’accusations, dont la « participation en temps de paix à une entreprise visant à fragiliser le moral de l’Armée nationale populaire (ANP) ».
À noter que le procureur du tribunal de Dar El Beida avait requis, en fin d’après-midi, une peine de dix ans de prison contre Ali Ghediri.

Poursuivi dans la même affaire que Ali Ghediri, le dénommé Hocine Gasmi a, quant à lui, été condamné à une peine de 10 ans d’emprisonnement. Avant le verdict, il risquait vingt ans de prison après le réquisitoire du représentant du parquet.
Hocine Gasmi est accusé d’avoir usurpé l’identité d’un certain Gouasmi Hocine. En effet, lors des élections présidentielles avortée du 18 avril 2019, Gasmi s’était rapproché d’Ali Ghediri en tant qu’un chef d’un parti politique, avec lequel il avait collecté les signatures requises pour le scrutin.

Amir Hani 

2 Comments

  • Samy
    23 septembre 2021 10:47

    Ali Ghediri est victime d’un complot ourdi par les apparatchiks du régime.Ils ont peur qu’un nouveau Boudiaf remette de l’ordre dans ce pays qu’ils ont dévasté depuis 1962. Ils ont assassiné Abane Ramdane et Mohamed Boudiaf et bien d’autres hommes valeureux qui ont voulu faire de l’Algérie un grand pays.Eux ils sont toujours veillant sur la préservation de leurs privilèges exorbitants.Qui délivrera notre Algérie de cette pègre qui ne dit pas son nom?

  • Mellah hocine
    25 septembre 2021 13:37

     » Le fond du problème est que nous sommes, à nouveau, empêtrés dans la manie coloniale des statuts octroyés. Les Algériens ignorent tous des fourbis institutionnels cuisinés secrètement par des experts de hasard. Mais leur revendication profonde et prioritaire est connue, ils la clament haut et fort dans la rue : le changement du système lui-même. Le refus d’une solution politique a mené le pays à une impasse totale. A telle enseigne que la seule solution à la crise demeure l’aggravation de la crise. On est devant une planification totalitaire de l’avenir, une trahison des promesses historiques et des aspirations élémentaires de notre jeunesse. Les Algériens ne perdent cependant pas l’espoir de reconquérir leur droit à l’autodétermination en vue de la refondation d’un Etat qu’ils construiront de leurs propres mains.
    Je suis chaque jour plus accablé par les deuils les souffrances des mes compatriotes , et par le sentiment qu’ils ont d’être laissés au bord de la route comme des chiens…alors même que les chiens et les animaux ont un droit effectif à la protection .
    Je suis révolté par l’attitude discriminatoire frisant le cynisme, de la communauté internationale à l’encontre de mon pays, c’est-à-dire des femmes et des hommes considérés comme des sous êtres humains, des unten-menschen . »

    C’était en 2002 que feu Hocine Ait Ahmed s’exprimait ainsi .

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