Le terrain de tennis à l’OCO : l’autre grand gâchis
En tenant compte des mesures entreprises par le premier responsable du secteur de la jeunesse et des sports après avoir délégué la gestion de la pelouse du stade Mustapha Tchaker, à la fédération algérienne de football « FAF » pour défaut d’entretien, Alors qu’en est-il des autres disciplines ? Bien que, le ministre de la jeunesse et des sports, M. Sebgag Abderrezak, stipule le manque d’une main d’œuvre spécialisée pour la préservation des pelouses naturelles, mais n’empêche que, la situation dans laquelle, est exposé le terrain de tennis sis au complexe olympique Mohamed Boudiaf, et qui est rappelons-le, en terre battue, met en évidence cette maudite négligence, et qui ne cesse effectivement, de couter cher au trésor public, tout en privant au passage, les amoureux de la raquette à mieux exercer et développer leur performance.
Cependant, suite à la récente démarche qui a été approuvée par le ministre de la jeunesse et du sport en confiant l’entretien de la pelouse du stade de Blida à la FAF, nous avons appris de sources bien informées, que la fédération Algérienne de Tennis, s’apprête à son tour, à acheminer une demande pour le même motif concernant cette enceinte qui est visiblement, livrée à l’abondons.
Mellah hocine
Ceux qui ont parlé d’un ministère du football ne se sont pas trompés.
Après tous ces gâchis , il est grand temps de confier tous les stades ou enceintes , toute compétition confondue , aux clubs qui y jouent. Seuls les clubs peuvent en assurer l’entretien car ce sont eux qui y « jouent ».
C’est fini le temps où la wilaya , par la DJS , gère un stade , nous sommes dans un professionnalisme qui impose aux clubs d’avoir leur stade.
Une décision politique est indispensable quitte à solliciter le président de la république.