Election locales: Le président Tebboune convoque le corps électoral pour le 27 novembre - DIA
64384
post-template-default,single,single-post,postid-64384,single-format-standard,qode-listing-1.0.1,qode-news-1.0,ajax_fade,page_not_loaded,,qode_grid_1400,footer_responsive_adv,hide_top_bar_on_mobile_header,qode-content-sidebar-responsive,transparent_content,qode-theme-ver-12.0.1,qode-theme-bridge,bridge,wpb-js-composer js-comp-ver-4.12.1,vc_responsive

Election locales: Le président Tebboune convoque le corps électoral pour le 27 novembre

DIA-29 août 2021: Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a signé un décret présidentiel portant convocation du corps électoral en vue des élections anticipées des Assemblées populaires communales (APC) et de wilayas (APW), prévues le 27 novembre prochain, indique dimanche un communiqué de la Présidence de la République.

« Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a signé samedi 28 août 2021, un décret présidentiel portant convocation du corps électoral en vue des élections anticipées des Assemblées populaires communales (APC) et de wilayas (APW), prévues pour le samedi 27 novembre 2021 », précise le communiqué.

Le décret prévoit également la révision exceptionnelle des listes électorales durant la période allant du 5 au 15 septembre 2021.

1 Comment

  • Mellah hocine
    30 août 2021 15:43

    Hocine Ait Ahmed Allah irrahmou, ecrivait ceci :
     » C’est pour que l’Algérie n’ait plus jamais à payer un tel prix pour la maitrise de son destin, qu’il incombe aux algériens, dans la diversité de leurs convictions et de leurs appartenances, d’indiquer clairement la voie de la construction politique en alternative à la voie de la confusion et de la violence.
    Il est plus que jamais temps de mettre à nu les pratiques de dépolitisation et de désarmement moral propagées par les tenants de la violence.
    Trop pressés de substituer leur agenda à celui de la société, ils ont voulu profiter de quelques confusions médiatiques soigneusement entretenues pour semer encore une fois le trouble.
    A chaque fois que cela sera nécessaire il faudra apporter les clarifications indispensables à une véritable construction politique nationale, démocratique, populaire et pacifique.
    Il serait grave d’oublier le lourd tribut payé par les algériens depuis des décennies. Grave de considérer ces années de terreur et de folie comme une « simple erreur de parcours » sur laquelle il faut pudiquement tourner la page. Croire cela possible c’est insulter autant l’humanité de ce peuple que son sens politique.
    Soixante ans après la proclamation de l’indépendance nationale, nous voici face aux mêmes absences :
    Absence d’un Etat de droit,
    absence de vie politique,
    absence de constitution digne de ce nom,
    absence d’institutions légitimes capables de protéger le peuple autant que le pays des abus et d’assurer son droit à vivre dans la liberté et la dignité.

    Le message légué par Hocine Ait Ahmed sera jalousement défendu par tous ceux qui chérissent la Liberté..

Envoyer un commentaire

0Shares